Mon cœur ne comprenait pas.
Il remuait à l’intérieur
Où est-elle ? Va t’elle revenir ? Quand ?
Les mêmes questions que lorsque tu vas chercher le pain le matin,
et que le temps semble trop long avant ton retour
Mais dans ce dernier cas je trouve le réconfort
où alors il suffit que je me mette au balcon
pour t’apercevoir le plus tôt possible dans tes pas qui résonnent.
Je ris de cette dernière fois nous étions même au téléphone. Tu étais à quelques mètres.
Sur le quai, le train s’éloignait.
Les questions revenaient à nouveau.
Je me suis retourné en silence.
Etre sans toi...est une lente agonie.
Les premiers instants, la prochaine rencontre parait trop lointaine.
Le cœur semble écrire lui-même
Je pense l’aimer comme jamais, véritable cri.
Mais je me le cache presque pour ne pas sombrer
Un tel amour ne mérite pas l’absence.
Mais tu me manques tellement,
mon cœur restera inconsolable.
Seule ta poitrine serrée sur la mienne le rassurerait.
Alors, dans l’écho d’un je t’aime reviens vers nous.