Le dragon crache sa haine pleine de feu,
Comme le grand chien noir qui aboie sans cesse,
Et pour ne pas montrer sa grande faiblesse,
Le dragon plante ses griffes sur les anges.
Mais poursuivi par des êtres démoniaques,
Le petit dragon esquive les attaques.
Et de sa blancheur si impériale il s’envole,
Et ainsi peut défendre son âme folle.
Mais la doctrine chrétienne le pourchasse ;
Et même si ses valeurs d’empereur d’orient,
Lui donne raison il perd quand même son sang,
Pour la gloire d’un emblème, il trépasse.