Au seuil de ma porte
L’automne
Entouré de ses feuilles mortes
Pleure
Il a mal
Autant que moi...
Sous l’astre des nuits
Un vent annonceur de pluie
Ricane jaune
Au rythme de mes neurones...
Cette nuit nous sera fatale
Dieu lui-même
N’en devine rien...