La pluie tombe parce que revient la tristesse de l’automne.
Se fatigue la chaleur.
Elle devient atone.
Elle part se réfugier dans l’ailleurs.
Elle s’enfuit loin du froid monotone.
Elle nous quitte doucement.
Nous la conservons tout de même dans nos cœurs.
Nous réchauffant de son absence aphone.
Nous réconfortant sous des vêtements chauds de son odeur,
Ressentant les caresses de leurs chaudes douceurs qu’ils nous donnent,
Quand sur notre peau nous la ressentons chaleureusement,
Nous remémorant les temps ensoleillés avec tant d’ardeur ,
Que ne nous touche le froid de l’hiver morne,
Que nous rappelle la saison automnale qui nous heurt,
Nous frappant avec son mélancolique climat nous plongeant dans l’uniforme.
Dalila Sarha Zouache.