Refuge éphémère.
Mon âme enclavée erre dans l’immense univers,
Loin de toute laideur, là où le temps est suspendu,
A l’orée d’un monde sorti de l’imaginaire,
Où vilénie et malveillance sont des mots inconnus.
Je berce mon esprit d’espoirs fantomatiques..
Dans un monde repentant, aux regrets éternels,
Plongé dans un marasme confus et chaotique,
Qui ne peut m’allouer qu’un repos virtuel...
Loin des vents de la rancœur je prends mon envolée
Eloignée pour un temps, des sentiers tortueux et tenaces,
D’un monde dont l’intolérance à atteint son apogée,
Qui semble égrener avec orgueil, le temps qui passe.
Dans ce lieu chimérique qui m’apporte du réconfort,
Là dans cet abîme qui me fascine et engloutit mon chagrin,
Dans ce gouffre galactique qui m’étreint et me dévore,
Je glanerais en passant, quelques instants souverains.
CLAUDEM....