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Au temps de l’eau
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> Au temps de l’eau 3 septembre 2005, genou IP:f71c35fdff2f6f9e
Un p’tit « soleil vert » pour vous tout seul. Non, non, il faut partager avec les amis. Le bon temps, la vrai terre, le vrai ciel. Il faut conter le passé.
Vous aurez droit à votre petite musique avant de partir, pour sur.
> Au temps de l’eau 4 septembre 2005, patrcik IP:256d82cba8f00f54
La plus agréable musique reste celle que distillent ces mots que vous savez assembler pour apporter encouragement. Merci de tout cœur.
> Au temps de l’eau 25 août 2005, Moun IP:dad30cfccf0778f3
Bigre ! Je croise les doigts pour que cette horreur n’arrive jamais ! et pourtant, nous en sommes tous, à notre niveau bien sûr, un peu responsables.
Bravo pour l’allant de ton texte néanmoins
Au plaisir de te relire
> Au temps de l’eau 26 août 2005, patrcik IP:4027bc18351ff29c
Si "allant" il y a, alors allons ensemble sans avarice de mots, les seuls aptes à réhydrater les cœurs !
> Au temps de l’eau 25 août 2005, Viviane Lamarlère IP:9b5f96c020a7900a
C’est effrayant ce texte, cela commence comme une réunion de famille, puis d’anciens combattants et...
Savez vous cher Ami, que sans être le moins du monde parano (enfin... je ne crois pas...) que votre scénario catastrophe pourrait bien un jour arriver.
Il suffirait que je vous envoie une photo de ce qui était mon jardin pour que vous comprenassiez l’étendue des dégats : on s’y croirait en plein Sahel, les chameliers en moins. On peut aujourd’hui traverser la Garonne à pied.
bref..szzkjllllllllllj. ; je..cr...qu’i ??.?faut ?..?????quee je me fa.....recréd........ bip bip bipppppppppp---------------------
> Au temps de l’eau 25 août 2005, patrcik IP:e192ac775766e8d8
La catastrophe serait que nos plumes se tarissent car qu’est-ce que le corps sans cette âme qui nous fait aimer les uns les autres ? N’y voyez trait d’esprit, sillon dans l’aridité ambiante où, par économie (?), chacun se referme sur soi. J’en aurais pour preuve ce refus généralisé d’écouter autrui ou tout du moins lui expliciter sa pensée quand celle-ci paraît obscure voire sèche au commun des mortels.
Le Net participe à ce Sahel de la communion, plantant les egos comme cactus empêtrés dans leurs propres épines. Heureusement, les gens à votre image sont source d’imagination et fertilisent nos émotions tant à travers leurs écrits que par leurs délicates dédicaces. Soyez-en remerciée, vous savez bien que je vous chéris car vous savez si bien m’entraîner sur les mots.
Ce texte, comme vous le précisez, a bien cet aspect dérisoire voire pathétique de la réunion de famille (traditionnelle et empesée) ou de ces banquets d’anciens combattants prisonniers (malgré eux) de leurs passés.