> Ami, où es-tu ? 27 août 2005
une porte qui ne s’ouvre que dans un sens c’est une porte de secours ! elle est là pour te sauver, j’espère qu’elle a bien rempli son rôle ... après il reste l’oubli
> Ami, où es-tu ? 29 août 2005
Oui en effet Eric, elle a bien rempli son rôle. Oublier est quelque chose de terriblement difficile....
Merci de ta lecture....
> Ami, où es-tu ? 26 août 2005, patrcik IP:c4d6fb5928bd3be2
Diable, votre plume se fait vive et acérée mais je lui donne raison car un ami qui s’en va ne mérite plus que vous lui ouvriez les portes de votre cœur !
Cette dernière strophe finira dans le bouquet que je compose des plus belles fleurs de ce site. A ce propos, votre teinte devient dominante mais à qui la faute ?
Une remarque : la répétition de "ami" demande de faire une lecture attentive pour l’apprécier, ce que j’ai essayé de faire en prenant le temps. Quant aux "si" de la première strophe, ils s’accordent à l’exaspération du personnage.
Rien à redire (non que ce soit nécessaire mais cela rassure de pouvoir s’exprimer).
> Ami, où es-tu ? 27 août 2005, Delphine Lemaire IP:463da6737d415421
Eh oui, l’exaspération me donne des ailes...!!!
Ce qui me fâche c’est ce sentiment de trahison et de mépris que je ressens...peut-être à tort...mais je n’en suis pas sûre. Et quand je commence à douter, ça va mal....!!!
Vous n’avez rien à redire...? Vous ? Alors là vous me surprenez.... ;o))) Que vous arrive-t’il ? Seriez-vous souffrant ? Rassurez moi vite...!
> Ami, où es-tu ? 26 août 2005, Clo IP:a6114dc3935386f9
J’ai écrit un jour un texte :"C’est la vie mon amie"...
Ton poème je le lis dans ses yeux tristes à chaque fois que je la rencontre... pourtant elle est bien là dans mon cœur... C’est la vie qui nous "bouffe".
Es-tu sûre que ton ami ne répondra pas présent si tu as vraiment besoin de lui ?
> Ami, où es-tu ? 27 août 2005, Delphine Lemaire IP:463da6737d415421
Je ne suis pas entièrement d’accord avec toi Clo...C’est vrai que la vie nous impose des contraintes mais il faut savoir se rendre disponible pour ceux qui comptent pour nous.
Il m’est déjà arrivé de recevoir à 23h30 un appel d’un amie qui déprimait et de passer avec elle deux ou trois heures pour essayer de lui remonter le moral alors que j’avais encore des copies à corriger impérativement pour le lendemain et que je me levais à 5h30...Dans ce cas je ne me pose jamais la question de savoir si j’ai ou pas le temps d’en faire ma priorité.
Je ne demande rien d’autre à mes amis que d’être fidèle à ce qu’ils disent être, comme je le suis.
Merci de ta lecture Clo....