En réponse à..

Je suis content de lire un texte comme celui là, simple, franc, sans superflu ; car les rastas des villes ne donnent pas specialement envie de s’attendrir...

 :)

les rastas des champs non plus ! et je ne parle pas des rastas des îles ... mais là bas ils font partie du paysage.
Amitiés

Continue de nous écrire de si beaux poèmes Eric. Combien de jeunes se laissent aller dans leur poison pour rêver à ce qu’ils ont perdu ?

ceux là n’ont rien perdu, ils n’ont jamais eu que des rêves fumeux ...
Amitiés Eric

bizzare...j’ai eu l’impression de l’avoir croisé au coin d’une rue. L’oeil chargé(de substance, de tristesse, d’un passé).

si tu l’as croisé et que tu as vu quelque chose dans son regard, c’est qu’il n’était pas complètement perdu.
Amitiés Eric