En réponse à..

"Quelque chose à me dire ?" ben... je sais plus. Vous m’intimidez mais j’ai beaucoup aimé. Ne pensez-vous pas que nous devrions recommencer ? J’égrènerai vos arpèges : "Saurez-vous découvrir leur discours amoureux ?"

Savoir ainsi instaurer (non : tisser) lien avec son lecteur relève d’une qualité rare et si je devais vous recompenser, j’avoue que j’aimerais vous baiser la main.

Je vous intimide ? J’en souris d’aise.
Tisser un lien ? Un défi comme dit mais aucun calcul de ma part. Mais il est toujours flatteur d’entendre le lecteur dire que l’écrit lui a permis d’échapper à sa réalité pendant quelques secondes. Merci à vous Patrcik pour votre fidélité à me lire et pour vos commentaires toujours si bien nourris.

Avec vous je ne peux accepter plus de quatre vers tant l’ivresse m’emporte et la seule issue que m’offrent vos mots est à mon tour de frapper ce clavier, non de rage car vous me mettez en pamoison et que je rêve de vous embrasser. Est-ce péché ou lecture trop appliquée de la première strophe ?

Merci pour le compliment Patrcik. Et si j’ai réussi à transcrire tout l’émoi qui était le mien au moment de l’écriture de ce poème et que vous le ressentiez alors je suis comblée. Faire rêver le lecteur, n’est-ce pas le défi de tout auteur ?

Un amour ancien qui n’a pas pris une ride .

Mais l’amour, le vrai, ne vieillit jamais ! Si ?
Merci pour ton commentaire Jean-Marin

Non, il meurt sans être vieux

Mourir si jeune ? Mais c’est affreux

 ???
Qui dit qu’il est jeune ?
disons qu’il mourra sans avoir vieilli

Pour Patrick : ta réaction est absolument normale ... Moun a une façon d’écrire qui ... que ... Ben, comme tu dis, quoi
Amitiés

Ben moi... Je pensais que cela te ferait plaisir

Quiproquo, Moun : il ne s’agit pas de moi, mais de l’amour Ah, les mots ! Il arrive qu’ils nous perdent ...