En réponse à..

Vous me faites douter un instant de ce qui pour moi avait toujours été une certitude...même si comme vous je ne suis pas vraiment pressée d’avoir à choisir...A la décomposition lente et horrible je préfère les flammes de l’enfer. Vous me direz que pour le diable que je suis, il ne s’agira là que d’une simple formalité...
J’aime cette façon que vous avez eu de traiter ce sujet pourtant grave avec une légèreté toute patrickienne et cet humour qui vous caractérise....
Merci pour ce poème si divertissant....

Légèreté et humour sont deux qualités que je ne saurais mériter mais je vous remercie du compliment. Ce texte me tient à cœur, je l’avoue, depuis bien longtemps car trop d’entre nous s’en vont sans même y avoir pensé et doivent se retrouver bien embêtés pour décider quelle orientation mortem prendre.

Plaisanter sur ce sujet ? Oui, il le faut quand il s’agit de la nôtre, façon de dissimuler nos inquiétudes, nos angoisses larvées.

Merci de votre visite, prenons date pour nous écrire en corps.

Vos vers me transpercent tant ils sont le reflet de mes cauchemars... et je souris... jaune devant vos pieds de nez à la mort.

Il m’arrive très souvent de tourner en dérision comme vous le faites cette vision de l’avenir... pour mieux cacher mon angoisse.

Vous avez su la transcrire sur le papier, j’en serais bien incapable !

Ne dites pas cela, vous êtes capable de bien des choses et le texte ici présenté m’a demandé pour ma part pas mal de cheveux en moins ! Je crois qu’il reste crucial de se détacher un peu de ses pires angoisses pour les traduire de façon plus dédramatisées, de les malaxer (et non de les ruminer) pour ainsi les coucher sur le papier (ce qui reste préférable à se coucher sur la table

Sans sombrer dans l’introspection permanente, rire un peu de soi est une excellente thérapie ! Merci de votre lecture.

rafraichissant !!!

Tel le cousin de Peter Pan, je te souhaite d’avoir eternellement tes 500 ans d’adolescent philosophant
 :)
Quoiqu’en dise le mirroir en vers ou à l’endroit, qui ne pense pas avant de réflechir...

 :)

Merci Jeune Homme dont la plume se fait aussi rare que les notes d’espoir que je devienne riche et célèbre (et surtout aimé à en perdre la raison sans façon) en écrivant ! Mais qu’importe la gloire, un seul commentaire m’apporte le sourire et celui-ci se fige à jamais sur mon visage poupin aux muscles défaillants.