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Lorsqu’elle saisit la plume,
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Lorsqu’elle saisit la plume, 29 octobre 2005, genou IP:ff8c72384b40c403
Je ne voudrai déranger. Mais très belle déclaration.
Lorsqu’elle saisit la plume, 28 octobre 2005, Mademoiselle IP:309c797732678208
Lorsque je prends la plume au milieu de la nuit,
C’est bien pour caresser votre cœur endormit,
Illuminer vos yeux pour que votre réveil
Soit sucré de douceurs au saveur de groseille.
Votre main assoupit est offerte à ma joue
Comme un nid de tendresse, un velours à bijoux,
Où j’attends patiemment un rayon de sourire,
Et j’entends là, dehors, le soleil qui soupire...
Mon tendre Ami... me voyez-vous émue ?!
Merci pour ce joyau que je ne mérite certainement pas, mais puisque c’est un cadeau je l’accepte avec grand bonheur.
Votre cœur est un trésor.
Votre bras de Roi est douceur au cours de nos promenades.
Caresse sur votre joue, mon foulard autour de votre cou.
Amitiés bien au delà des mots
Tendresse
Nady-Mary
Lorsqu’elle saisit la plume, 28 octobre 2005, roseaupensant IP:2b5e0865b39bded8
Que n’étais-je éveillé lorsque vous étiez là ?
Ma main vous cherche en vain pour vous offrir lilas,
Que l’abeille y butine pour vous les doux nectaires,
Qu’elle soit mon messager du Ciel venu sur terre,
Pour vous dire, Mademoiselle, qu’à l’heure de mon trépas,
J’emporterai de vous, souvenir..la-bas !
Ne parlez pas ainsi, la fin est encore loin,
Le soleil de midi vous donne donc la fièvre,
Ma main suffira-t’elle à prodiguer les soins,
Ou un simple baiser déposé sur vos lèvres...
Je ne suis pas pressé de saisir l’avenir,
Mais si pour ce baiser il fallait le hâter,
Alors oui, sur le champ je suis prêt à partir,
Et recevoir de vous la dernière pelletée.
Il n’est de pelletée à jeter à cette heure,
Préférant vous couvrir de mes plus beaux pétales,
D’un baiser sur vos maux pour tuer la douleur,
Et me perdre en vos yeux serait un vrai régal...
Déjà deux jours sans vous et je suis en enfer,
Encore tout étourdi par vos tendres promesses,
Je n’avais pû reprendre la plume pour
Cythère..
Comment croire en effet à tant de gentillesses ?
Au charme vous ajoutez une exquise
politesse,
En vous faisant passer pour ardente maîtresse !
C’est trop pour mon ego , il faut que je confesse
A Genou, Vanina, ainsi qu’au Sieur Patrick,
Que vos bontés pour moi ne sont que chimériques.
Car il ne faudrait pas que par malentendu,
Un de vos chers galants ne se croit
superflu,
Touché par leurs pensées moi le vieux damoiseau,
Je leur dois mille mercis et ce n’est pas de trop..
Mais sans vous nul n’aurait répondu à Roseau !
Croyez ma chère Nady que je forme pour vous,
Des voeux de douces amours pour de vrais rendez-vous !
Amitiés à toutes et tous.