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Au nom de la prose II
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Au nom de la prose II 29 octobre 2005, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
Entre le vert des salades, le ver de terre, le ver à pied et cette homme qui semble encore vert, je me suis un peu égarée dans ce labyrinthe du pote âgé, heuuu... du père Magloire !
Mais, ce fut là un agréable « errement ». Ravie de savoir que l’humanité à un avenir ! ) (M’autorisez-vous ce smiley ?)
Sourire
Au nom de la prose II 29 octobre 2005, patrcik IP:67ff787dbb33ab0d
Vers quel avenir nous tournerons-nous ? Je ne le sais encore guère mais prends bonne note de votre attention dont je tiens à vous féliciter, vous êtes lectrice rêvée. Quant à ce smiley, je le serre contre moi pour en épouser les formes. A tout de suite ?
Au nom de la prose II 29 octobre 2005, Aimelasorc IP:dd8f0a1a039b36e9
Une suite à cette histoire me réjuirai fortement. Si les plantes empêche d’acceder à la cave où va t-on ? Plus de bonnes bouteilles à déguster avec modération. Là c’est moche
Au nom de la prose II 29 octobre 2005, patrcik IP:d47c734fadffca51
De la modération je ne veux et vous retrouver à chaque pas me convient et me réjouit. Tout d’abord recevez cette bise (non baveuse, je ne suis limace et ne faites pas la grimace) puis cette autre et ce pas de danse pour vous remercier.
N’ayez crainte, la plume peut encore lisser le papier si tel est votre désir !
Au nom de la prose II 29 octobre 2005, Delphine Lemaire IP:ca1c5014d59b9346
Ainsi le devenir de l’humanité résiderait alors dans un ver de terre géant...?
Pitié, achevez moi avant que cela n’arrive....
Je suis déçue, je m’attendais à entendre parler de ces fameuses limaces dont vous nous aviez tant parlé dans votre premier texte....
Mais non je plaisante bien évidemment...j’ai beaucoup ri encore une fois en vous lisant...Vous écrivez comme l’on écrit un scénario, on vous suit et derechef, l’action se déroule en direct devant nos yeux....
Au nom de la prose II 29 octobre 2005, patrcik IP:d47c734fadffca51
Désolé mais ma réponse a disparu, probablement un effet secondaire de la potion au père Magloire qui ne veut de la mienne ! Recevez à votre tour une bise tonnante tant j’ai de joie à vous la faire passer puis cette réponse que je souhaite craquante comme de la roquette (connaissez-vous cette salade ?).
Merci de cette délicate attention qui consiste à lire mes fredaines.