En réponse à..

Pour le dernier texte du mois vous terminez en beauté. Bien qu’il aurait pu se trouver sur Palabre en texte imposé du mois d’octobre. La description de votre coiffeur vos le détour (le texte pas le coiffeur, "quoi que"). La peur cher un enfant est une image importante, je dirais même un cauchemar. Un souvenir que vous avez su nous conter à merveille avec cette plume qui est votre.
Sourire.

Ne méritant certainement pas autant d’éloges, je les accepte car je les sais sincères et vous en remercie d’autant. Pour "palabres" j’avoue n’y être jamais allé car je préfère la simplicité d’un seul espace, comme un mariage. Puis à quoi bon se disperser quand la place ici est suffisamment grande pour nous réjouir tous ?

J’ai connu la même misère jusqu’à mes neuf ans avec un voisin italien qui entre égorger les poulet et arracher l’œil du lapin venait, les habit encore ensanglanter et une odeur de merde de poulet me titiller les cheveux. J’ai fini par supplier mes parents de me les laisser pousser.
J’ai beaucoup aimé.
Amitiés..
LGilles

Merci c’est sympa d’être venu et encore plus d’avoir aimé en sachant le dire. Quant au bout de gras, j’avoue avoir enjolivé la réalité mais qu’importe l’authenticité quand les images viennent en souvenirs ?

A ta place, je l’aurais tué coiffeur . Je me rappelle encore des coupes au bols que certains enfants affichaient, les malheureux. Moi, je gardais mes cheveux longs pour ne pas y passer ( rires)

Une joie dans le malheur : ce n’était coupe au bol mais très court partout sauf là où y’avait des trous car on n’était pas à un détail près et souvent il discutait et regardait d’autres clients.
Merci de cette sympathie permanente pour mes écrits..