En réponse à..

Je suis sans doute trop pragmatique.
Votre très beau texte me semble entaché
d’un certain fatalisme !
Si ses amis ne réagissent pas, il va croupir votre ami poète.
Une petite anecdote.
JE n’ai connu le sort de Nelson MANDELA
que le jour où certains joueurs de
l’équipe de France de rugby ont refusé
de se rendreen Afrique du Sud.
Il fallait un geste, une action radicale,
pointant le doigt pour faire avancer
la connaissance.
JACCO.

Le fatalisme n’est pas de mise ici...

Encore aujourd’hui des personnes dans certains pays sont enfermées sans que rien ne puisse être mis en œuvre pour les libérer.

Saviez-vous par exemple que le grand auteur chilien Pablo Neruda avait été, sous la dictature de Pinochet, assigné à résidence et qu’il lui était interdit de recevoir et de communiquer avec quiconque, et ce jusqu’à sa mort ? Et pourtant aucune action n’a été tentée pour le libérer du joug de ce dictateur alors que la terre entière savait...(et encore son "châtiment" fut bien plus doux que celui de certains autres hommes..!)

Merci Jacco de ce commentaire....

Il a raison ce poète de dessiner ses rêves malgrès ses chaines. La liberté de penser vaut tout l’or du monde. Combien ce sont révoltés pour l’obtenir...cette liberté ? Bravo pour ton texte Delphine

Oh oui Aimela, il a plus que raison.

Ne jamais se laisser soumettre par l’esprit, si le corps peut porter des chaînes, l’âme doit pouvoir s’évader pour survivre.

Merci de ton commentaire Aimela...

La liberté est une chose précieuse, pour le poète comme pour l’ « Homme ». Il lui restera toujours la pensée.

« La liberté ne s’emprisonne pas, et les fers mêmes qu’on forge servent parfois à étendre son empire. » H. Lacordaire.

Un Sujet traité avec beaucoup de réalismeet de délicatesse. Merci Delphine. Bisous

Vivre enchaîné physiquement mais libre dans la tête, n’est-ce pas là le plus beau symbole de liberté.

Merci pour cette belle citation de Lacordaire, elle prête vraiment à réflexion....

Bisous Genou....