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Les versés
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Les versés 27 novembre 2005, genou IP:372975f7b3f71fdf
_Par votre texte ainsi déposé
_Je vois pleurer des versés
_
_Votre plume est habile
_Pour des vers qui défilent
_Sans borne et sans fil
_Libres sont les mots
_Pour nos maux
_
_J’aime beaucoup ce poème.
_Genou
Les versés 5 février 2006, patrcik IP:cb1157db76db92a5
Merci beaucoup car ce texte reste un des premiers que j’ai assemblé ainsi à la recherche de rimes, ce qui me reste difficile. Soyez assuré que le retard pris à vous répondre n’est que le signe de mon égarement fréquent.
Les versés 27 novembre 2005, Jean-Marin IP:edec1016e5590784
Dear Patrick,
j’attendais des versets sataniques et voici beaucoup mieux : un texte tendre et lucide qui fait la nique au temps qui passe et qui nous use ...
Un style réjouissant, même si le fond l’est un peu moins, lucidité oblige ...
Nous n’avons pas souvent le plaisir de te lire en vers, cher Patrick, et je souhaite sincèrement des récidives !!
Bien à toi
JM
Les versés 27 novembre 2005, patrcik IP:24189502b27b2d28
le titre est venu ainsi et l’image des versets sataniques m’a fait hésiter un moment. Là j’ai pluôt pensé aux bblés couchés, à une récolte perdu ou à une voiture sortie de la route, versée sur le côté. Ici c’est ainsi comme souvent (d’ailleurs) on croit filer le bon chemin ou le bon coton puis l’accroc survient et tout file de travers.
Merci de ce très gentil commentaire et de cette amabilité à venir découvrir ce texte.
Les versés 27 novembre 2005, Aimelasorc IP:dd8f0a1a039b36e9
J’aime beaucoup ce texte, Tu te débrouilles bien en poésie quoi tu en dises. Pas évidents de faire des vers lorsque l’écriture vagabonde en dehors des régles. Je connais, cela devient anarchique et j’adore
Les versés 27 novembre 2005, patrcik IP:24189502b27b2d28
Merci Amie de ta lecture et de ce commentaire très agréable. Les règles ? Oui, j’ai du mal à les respecter et en fait, je préfère les ignorer. Disons qu’ici sont retours à la ligne plutôt que mots arrangés ou codifiés, libre pensée sur ce temps terrible qui dévore les êtres. Un peu, beaucoup, du cynisme partout et c’est ainsi que finalement on accepte le destin : comme une farce, un autre qui se défile sous nos pas.