En réponse à..

Faisant partie de cette catégorie, j’ai eu l’occasion de me rendre dans ce genre de soirées organisée par de bonnes âmes... où tout est fait pour favaoriser les rencontres.
Je vais être cruel mais mais la majorité de ceux qu’on y trouve sont des handicapés du relationnel, j’ai pas aimé du tout.

Merci Roland et désolé d’éveiller des souvenirs qui sont peut-être dérangeants mais j’avoue avoir parlé sans trop me renseigner, juste aperçu cette affiche et essayé de broder dessus. D’abord, je ne vais jamais au bal, le regrette un peu car je reste cureiux de mes contemporains et de leurs comportements. Je trouve ce genre de lieu très cinématographique (cela dit sans méchanceté, non les visages y sont différents de ceux de la rue).

Que de désillusions dans ces bals où on espère aimer à nouveau mais ce n’est jamais le cas. Nous sommes face à notre solitude et personne ne peut nous aider. J’aime ce texte Patrick

Et je vous répondrai que je vous aime de virtualité pour cette fidélité, cette acceptation des mots versés. Ce texte m’a rendu triste un peu car les personnages mis en scène finissent toujours par nous habiter quelques temps. Ce blues reste pourtant d’une agréable saveur. Merci.

Peut-être ne faut’il aller au bal que lorsque l’on a fait le ménage et que l’on est de nouveau vraiment disponible pour une rencontre !
J e parle en connaissance de cause ; inimaginable le nombre de rateaux dans ma brouette !
On se brule à l’illusion des sentiments.
Amitiés.
JACCO.

Désolé pour les rateaux... ceci n’est que fiction (heureusement) cueillie sur une affiche aperçue à un carrefour. Si l’histoire en est crédible, alors j’en suis flatté. Merci.