En réponse à..

Ne pas croiser le regard des autres afin de ne pas y lire le mépris et le dégoût...

Avoir été et n’être plus qu’une ombre parmi tant d’autres...

Une note d’espoir sur la fin éclaire ce poème bien sombre...

Merci Raymonde de parler aussi bien de ces oubliés...

Amitié.

cette poésie se devait d’être réaliste tu le sais il ne fallait pas enjoliver le quotidien de ces démunis je me suis mise à la place en écrivant
bisous
raymonde

Un texte fort, Raymonde ... "les yeux vrillés sur le trottoir", car aucun regard pour croiser son regard ... Et la honte d’être de qu’on est devenu ...

Combien de centaines de milliers aujourd’hui ... ?

Merci de leur avoir donné ces mots ... C’est une obole qui leur ferait chaud au cœur je crois ...

j’ignore si le texte leur ferait chaud au cœur il vaudrait mieux leur donner un toit ,un lit leur rendre leur dignité
merci de votre passage
raymonde

Je ne vais pas commenter sur la forme.
J’aime votre style et l’envie !
Par contre, je pense que ceux qui choisissent l’errance(car c’est le cas
aujourd’hui) ont droit à notre compréhension, car ils n’ont dans la plupart des cas, plus rien à faire de notre compassion ! Ils ont dépassé ce stade là. Notre devoir est de leur donner
l’écoute nécessaire pour qu’ils puissent
assumer leur histoire, souvent trop lourde. Leur pire déchéance n’est pas dans le présent, c’est leur passé.
Amitiés
JACCO.

vous enviez mon style ? c’est une blague je me suis forgé ce style en travaillant c’est tout vous n’avez rien à envier je vous ai lu
j’ai écrit ce texte pour une exposition dans le cadre"la différence" il fallait aborder des sujets sensibles
merci
raymonde