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Libération 16 janvier 2006, Delphine Lemaire IP:7ed5ef810179aa77
Sans vouloir jouer les pessimistes de service, je n’y crois pas à cette chance...La société dans laquelle nous vivons n’accorde pas le droit à l’erreur...
Combien diront que tout cela n’a aucune importance, qu’on a le droit de faire des bêtises et de se racheter mais combien le penseront réellement..?
Un texte plein d’espoir mais...
Merci Gilles...
Libération 18 janvier 2006, lgilles IP:e21f88e572e56c9a
merci de ton commentaire delphine.
Amitiés..
LGilles
Libération 16 janvier 2006, Belphegor (Jean-François Tiercelin) IP:150b1acd82f14319
C’est là qu’on voit la difficulté d’appliquer ses principes. Nous sonmmes beaucoup à être d’accord pour donner une deuxième chance....Mais combien serions nous à faire confiance à ces personnes si nous devions les employer...Je ne suis pas sûr de ma réponse....
Amitiés.J-F
Libération 16 janvier 2006, lgilles IP:8a3679fb17ab9854
J’ai, dans mon entourage et même dans la société où je bosse des gens qui ont à un moment de leur jeunesse fait le grand saut derrière les barreaux et franchement se sont des gens beaucoup plus compréhensif et moins arrogant que certains. Je ne dit pas qu’ils sont tous comme cela mais, si on sait leur donner leur chance il peuvent retrouver le droit chemin
Amitiés..
LGilles
Libération 16 janvier 2006, Violaine IP:e6197395b3e52eee
Difficile en effet, quand la confiance est perdue de retrouver ses marques, mais le temps parfois aide à l’oubli ...
Refaire ses preuves et redémarrer là ou ailleurs ...
Libération 16 janvier 2006, lgilles IP:8a3679fb17ab9854
Justement, le problème c’est qu’il faut toujours en faire plus que les autres pour
Être reconnu à part entière. Il est vrais que selon le délit, on peu réagir différemment mais, si la personne a fait son temps il doit pouvoir réintégrer la vie active sans être dénigrer pour son passer
Amitiés..
LGilles