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Demain, les machines
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Demain, les machines 21 avril 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Et si je te disais que je fais ce rêve, ou plutôt cauchemar depuis que je suis toute petite... L’IA me terrorise, elle deviendra un jour maîtresse du monde et nous ne serons plus rien d’autre que des poupées incapables de penser ou d’agir par nous même...
Un avenir effrayant même si le ton reste léger malgré le cynisme...
Machiavélique ton personnage...j’aime beaucoup..!
Demain, les machines 5 mai 2006, Jean-Marin IP:67f2aea9ec17c620
Chère Delph,
Mon personnage est un rebelle des temps futurs ...Par obligation, ils seront des techno-rebelles
Cela dit, je partage ton inquiétude ...
Amitiés
Demain, les machines 21 avril 2006, Aimelasorc IP:4ce8247c5bce7e4b
Dire que je voulais vivre 120 ans ( oin, oin ...)Dans ces conditions ;,il n’en est pas question. J’aimerai pourtant voir un truc très important pour moi, je trouverai une autre solution.Tu parles d’une tuile...
Demain, les machines 5 mai 2006, Jean-Marin IP:67f2aea9ec17c620
Je te rassure : la puce dans le cerveau n’est pas encore obligatoire, tu peux y échapper
Amitiés et merci Aimela
Demain, les machines 21 avril 2006, Bernard Blazin IP:03080766e7c4d5cc
Je peux bien te répondre, moi qui suis déjà informatisé au bout des doigts... C’est vraiment ainsi que sera notre futur, je le pense aussi..
2031 Ca va pas être facile de tenir jusque là pour ésperer vivre 150 ans mais après tout, je préfère en vivre 60 ou 70 sans puce dans ce qui me sert ( si peu) de cerveau ! )
Pour la fin de ton texte, si je peux te rassurer, les hommes ayant eradiqué toutes races animales de la planète, ce sont des robots chiens qui pleurent et rouillent...
Super la science-fiction comme ça ! J’adore !!!
Demain, les machines 22 avril 2006, Jean-Marin IP:c67d700bf1a22d3e
Une puce dans le cerveau et une (toile d’)araignée dans le plafond ? J’aime autant pas, moi non plus ...
Comme tu l’as compris, c’est un vrai texte d’angoisse Bernard ... Nous sommes en route vers ça ...
Et je crains que pour les chiens, tu n’aies raison aussi ...
Amitiés, Bernard