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> Pensée une 11 mai 2005, genou IP:a0740c441c0b2921
Je vous ai suivi dans le grenier, point de corde, pour de femme ! un mirage certainement ou un rêve… probablement. Dans votre cave y a-t-il une chaudière ? …. Je ne peux pas dire que j’ai passé un bon moment. Vous auriez le dernier mot…
> Pensée une 11 mai 2005, patrcik IP:39a786cfced351c1
Du grenier mot ou au grenier mal, votre réponse est miel gredin !!
> Pensée une 6 mai 2005, Cléo IP:e2a4db1ffd317307
Envie de rebondir en ces mots qui non-silence. Paradoxe, entre les mots posés et le regard qui se tait. Silence dites-vous. Refuge pour celui qui mutisme sa vie.
J’aime le silence et je ne l’aime pas.
En paradoxe, sanglée de chair et d’inconstance, le silence marque mes plaies et coud les bouches qui voudraient s’ouvrir sur... autre chose.
Autre chose, bien loin de ces bavardages qui clouent les mots avant qu’ils ne s’envolent. Je vous parle du silence choisi quand je vous dis que je l’aime. Je vous parle du silence imposé quand je vous dis que je ne l’aime pas.
De ce silence dont se servent toutes les dictatures. Dont s’abreuvent toutes les lachetés.
Et je prie le ciel d’ouvrir tous les silences tabous, et je prie à genoux de retrouver le silence au milieu de l’imbécile parole.
Ah ! Quel vaste sujet que le silence !
Mais vous parliez d’écrire... et je n’ai fait que vous parler... du silence !
Cléo
> Pensée une 6 mai 2005, patrcik IP:568a2c3f59a94fd5
Vous faites bien de préciser : en aucun cas il ne s’agit d’imposer le silence politique notamment. Par contre, réclamer le silence (chose donc manquante) est malheureusement souvent nécessaire.
Puis on distinguerait utilement le son des mots et les bruits parasites (comme les sonneries de portable doublement pénalisantes car elles anticipent le bruit des voix, vocables cacas).
Oui, ne nous imposons point ici silence pour agrémenter ce lieu de mots aussi tendres.
> Pensée une 5 mai 2005, chris2rire IP:f3de2fc9513ed9cb
J’espère que vous ne vous êtes pas coupé en vous rasant !
Les mots coulent et se déversent. Ils sont donnés à qui veut les lire. Celui qui veut bien les lire leur donne alors vie !
> Pensée une 5 mai 2005, patrcik IP:8c3bf05c0e3326ee
Les mots sont eau de source, naturellement bons. Il reste plus simple de les boire ou de s’y rafraîchir un instant, comme je le fais en vous lisant. Parfois malin se croit celui qui aussitôt les salit mais en s’écoulant ils finissent toujours par s’autopurifier (ou bêtement s’oublier). Merci de votre venue.