En réponse à..

Ton style d’écriture traduit bien ce silence intérieur ou finalement on se parle beaucoup en espérant que l’autre nous entende...

Poétiquement.

Emirelo...

merci émirelo
je voulais démarrer par un ton qui laisse le doute planer : ne dis rien, rien à ajouter... ce qui peut laisser la porte ouverte sur la rupture
puis amener à ce souvenir du silence complice lorsque l’on se comprend d’un simple sourire..

et puis, les mots sont, effectivement, dangereux si mal compris et/ou pas toujours entendu tandis qu’un baiser... qui pourrait nier son importance (et le plaisir associé...)

chut, plus un mot, je lis ( sourire)

alors je me tais et t’envoie une grosse bise amicale pour te remercier de ta visite
la porte est ouverte, viens quand tu veux..
frédéric

Quand le silence devient tendre complicité les mots sont inutiles. J’aime ces silences où les regards en disent plus long que les plus grands discours.

Beaucoup de douceur et d’émotion dans ce très beau poème.

Merci Frédéric.
Bises.

merci à toi delphine pour ce gentil commentaire qui me touche.
effectivement, comme je le répondais à Eden, on lit souvent sur la plume des silences bien plus lourds de conséquences (l’adieu, l’absence, ...) et j’avais envie moi d’un silence intime, deux regards et un baiser, une ouverture sur l’amour
en même temps mais suis-je parvenu à traduire cette envie ? en même temps démarrer sur des mots pouvant convenir aussi bien à une séparation qu’à autre chose et surprendre avec les mots prisonniers du baiser...
bises à toi également, merci aussi pour cela..