En réponse à..

Ouh là là quelle frayeur !
Quand on enttendait parler des attentats, nous avons pendant de longs mois, évité toutes les agglomérations, les grands complexes commerciaux... C’est dire si ton texte m’a serré la gorge !
Très beau texte

Merci Clo, c’est avec beaucoup beaucoup de retard... j’avais adoré cette contrainte de notre Atelier. Tu m’y fais revenir avec beaucoup de plaisir, merci ..

J’ai vécu un peu cette psychose du paquet piégé.

Après les attentats de 1986 dans le métro de Paris, je voyais des paquets "possibles" sous tous les sièges. Mais je crois que je n’étais pas le seul. Les poubelles étaient toutes occultées. C’était dégoûtant. C’est ça la peur, la peur de l’improbable. Et notre cerveau a vite fait de fabriquer des possibles incroyables...

Maria ! J’aime aussi ce prénom, comme Marie. C’était celui de la grand-mère de ma femme qui était d’une bonté exquise et c’est aussi celui d’une de mes tantes que j’aime beaucoup et qui elle a eu des malheurs horribles et bien réels.

Maria et les trains, quel joli t’aime ! ;o))

C’est vrai, Merlin Zoltar.. Et difficile dans ces cas là de ne pas céder aux injonctions de nos humeurs corpusculaires...

Ton texte retrace trés bien les angoisses que l’on arrive à se provoquer tout seul, à partir d’une idée complètement fausse et farfelue.Séen suit un enchainement infernal idée, sensation , certitude, et on se retrouve bête.
Moi, un jour, j’ai eu la sensation dans une file d’attente que la personne derrière loi fouillait une de mes poches (ça aurait pu être vrai, mais ça ne l’était pas du tout) et je me tenais prêt à lui saisir le poignet (poignet qui n’était pas du tout là ). Bref, le pauvre derrière moi était sagement à sa place et ne bougeait pas ; Bises.

merci Domi.. j’aime bien me faire des frousses, et la Maria de ce train là me ressemble un peu... beaucoup. Bisous.