En réponse à..

Pour moi, il en manque au moins un, donc je complète en prose :
L’enfant perdu des baraques qui n’atteindra jamais l’âge de raison mais qui à vaincre sans péril triomphe toujours avec gloire. Notre petit scarabée que l’on aime une fois, deux fois et même à l’infini et dont les silences audibles montent vers les cieux, vers son père éternel.

Beaucoup de tendresse et de douceur dans cet exercice de style où tu nous prouves une nouvelle fois ton habileté et ta sensibilité.

Bisous Frédéric.

Zutre, je suis démasqué...
que dire, Delphine, devant tant de gentillesse ?
il était tentant de rajouter des strophes, tant d’auteurs à qui je voudrais dire tant de choses, un autre jour peut-être, sous une autre forme assurément...
au départ je voulais faire un truc bien cra-cra, genre délation, genre ‘tentation’, mais notre île est bien trop belle que pour la souiller
au fond tout cela est de votre faute ! sont bizarre et dangereux à thiercelieux,
a-t-on idée de créer pareil lieu,
ou les mots courent en totale liberté,
de cœur en cœur et les têtes font tourner ?

amicalement,
merci à toi pour la charmante attention, et d’y avoir également mêlé nos pères éternels...

Cher Frédéric...

Je t’ai vu apparaître tout à l’heure sur la plume, tu n’es pas resté longtemps.

Tu es venu à pas feutrés déposer tel une colombe, un présent, un message d’amitié.

Il y a bien longtemps que j’ai perçu ton grand cœur, ta tendresse et ta délicatesse.

Ton message, personnel, pour chacun d’entre nous, est touchant, reflet de ton âme.

Ta perception juste de tes semblables t’honore, nous honore, de ta sensibilité.

Je te remercie en particulier pour les mots qui me concernent, j’y suis sensible.

Si j’ai survécu comme tu dis si bien, c’est grâce à des gens juste comme toi.

J’ai pour habitude de donner, pas pour avoir un retour, simplement par amour.

Quand on aime comme l’on doit aimer sans calcul, les cœurs s’en souviennent.

Mon cher Frédéric, tu es un peu dans mon cœur comme le frère que je n’ai eu.

Amitiés. JB

Jamais je ne pensais, en venant sur ce site, trouver tant d’amitié, de partage et de complicité. Je suis flatté, Cher Joel, par cette nouvelle fraternité et t’en remercie sincèrement,
Touché,
Coulé...