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Mon univers
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> Mon univers 17 juin 2005, patrcik IP:c94fc9e9e3522f0a
Le bonheur ? Il est caché là dans ces mots, ne vous en déplaise. Le bonheur ? Petite chose éphémère qu’il faut savoir saisir lorsqu’il frappe à votre tête pour s’y immiscer comme le fait ce texte dans ma petite caboche cabossée d’avoir trop tenté... me tenter ? Non, Pour qui ? Pour quoi ? Foin de questions, moi j’aime votre plume ici forte et qui ne se dissimule.
Que la Vie (cette putain malhabile) vous inspire, alors égoïste lecteur je m’en réjouis car vos mots me font choc et émotion.
Je vous dis "merci" même si c’est con et m’enchante de votre présence même si celle-ci reste le résultat de ces malheureux hasards qui vous ont fait grande souffrance.
> Mon univers 1er novembre 2005, Aimelasorc IP:dd8f0a1a039b36e9
Tout m’enchante ici et je pense y rester logtemps. Oui la vie est difficile mais je ne baisse pas les bras malgré mes coups de blues
> Mon univers 16 juin 2005, Bernard Blazin IP:673d7c2e4c3fe5f9
Aimela, j’ose esperer que ce n’est pas autobio...Sinon ! il faut "zapper" ces tristes pensées et nous faire un grand sourire...
Nous sommes ici entre amis !
> Mon univers 16 juin 2005, Aimelasorc IP:1d1b38ac213e4d1f
C’est bien autobio malheureusement mais aujourd’hui je ne vais plus aux restos du cœur. Ce poème n’est que le contre coup de tous les coups de sorts que j’ai reçu. J’essaie d’évacuer tout cela avec ma zappette. Merci Bernard
> Mon univers 16 juin 2005, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
Ton triste texte est très touchant parce qu’il est écrit dans « l’urgence » du désespoir…
T’ai-je dit que j’aimais la vie quoiqu’il arrive ? Les moments de bonheur intense sont rares, mais, un fou rire avec des amis, le ronron de mes matous, le sourire d’un voisin… tous ces petits instants sensibles et éphémères permettent de ne pas voir la vie en noir… Un jour que je l’avais oublié, un @mi me l’a rappelé… Aujourd’hui, je me permets de faire de même.
Sourire
> Mon univers 16 juin 2005
Oui Vanina, l’urgence était là mais c’est passé aujourd’hui. Si cela m’arrive encore, je penserai à ce que tu m’as écrit. Merci