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L’écrit vain
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L’écrit vain 29 janvier 2008, nicolas_prieur IP:64444bdfeeeeb484
Quel beau texte. J’ai poarticulièrement aimé le rythme jusqu’à "Prêt à prendre le large". Et la cassure avec la suite. Et aussi tous les petits mots et jeux de mots tout au long du texte.
Le tout accompagné de phrase qui n’ont rien à faire là si ce n’est qu’elles ont voulu sortir et que l’auteur ne s’est pas posé de question. Plein de spontanéité, le genre de texte que j’adore !
Nicolas.
L’écrit vain 29 janvier 2008, papabul IP:34c85dcbc24a1d05
merci pour cette fort agréable appréciation.
Effectivement je me le suis dit aussi par moment : "mais pourquoi je dis ça moi.." ? et en même temps une envie de laisser les mots s’imposer..
Encore merci pour la ’visite’
au plaisir de te lire
papabul
L’écrit vain 28 janvier 2008, Claudie Becques IP:f1b54f4b3a12dfef
Continue à écrire Frédéric, non ce n’est pas vain, puisque te lire nous fait du bien.
Amicalement.
Clo
L’écrit vain 28 janvier 2008, papabul IP:e4527d56693810b8
Très Chère Clo, un compliment que je te retourne : continue à écrire toi-même c’est celle qui le dit qui l’est ! (dommage que tu n’entendes pas l’éclat de rire..)
Mais es-tu certaine d’être objective ? Moi, faire du bien ? Quelle responsabilité... je n’oserai plus maintenant mettre mes délires en ligne...
Bien amicalement,
Frédéric
L’écrit vain 28 janvier 2008, Guido Alaimo IP:eefbeeeabf665996
J’ai beaucoup aimé.
Excellemment bien écrit, avec des associations de mots originales : ton texte "prouve", si besoin était, l’inverse du titre !
L’écrit vain 28 janvier 2008, papabul IP:e4527d56693810b8
Cher Guy, merci d’avoir apprécié...
Le titre est un peu provocateur, mais en même temps, j’y vois un lien avec les sentiments d’inutilité affichés par "mon" écrivain public.
Un texte un peu mélangé comme mes idées en ce moment hésitant entre le "je m’enquiquine, je ne sais pas où je vais, je veux prendre le large", le plaisir aussi de retrouver copains et copines sur la plume, puis la dérive vers "comme ça doit être frustrant comme métier, écrivain public, mettre sa vie entre parenthèse pour transcrire celle des autres, pas plus excitante d’ailleurs que la sienne..." et puis il y a cette fille de joie, qui n’arrête pas de rire, comme une invitation...
Encore merci,
au plaisir de te lire
Frédéric