En réponse à..

En lisant et relisant ce texte, en le faisant défiler devant mes yeux ... je ressent des hauts et des bas, des droites et des gauches, assommé de coups par ce texte. Le mal-être et le malaise se faisant grandissants. Je le voyait. Oui, je le voyait mon dieu venir vers moi ... Ce texte nous montre ici simplement le dégoût que l’on peut avoir des gens différents puis leur rejet. La peur nous donnant la force de détourner le regard.
Soit le bienvenue ami caennais !

Merci beaucoup, je suis enchanté d’avoir réussi à transmettre dans ce poème l’émotion et le rythme qui je voulais faire passer.

Ca a été un bonheur de l’écrire, une certaine libération comme lorsqu’on hurle, et de le sculpter pour vous le donnez sur cette forme.

Je suis désolé des quelques coquilles, bien que j’ai privilégié le rythme, il y a des nuances importantes dans l’écriture qu’il faut bien saisir pour les faire passer à l’oral ( oui car pour moi, le but d’un poème c’est d’être lu, car c’est là qu’il vit ).

C’est le cas par exemple pour :
"Il est là, mort
Il est la mort"

Donc voilà, à l’oral c’est très dur de faire passer ce genre de sens et en même temps c’est tout l’intérêt. Et dans ce cas, les coquilles peuvent avoir des effets dévastateurs

je vous remercie encore d’avoir lu ce poème et ainsi de l’avoir faire vivre.