Il ne répond jamais aux doléances ! 22 mars 2010, Cassiopée IP:2bd0b03aba58fc02
Oh oui, Guido, assomme-moi encore !... mais d’abord, tu veux bien rendre à Freud le ça, le moi et le surmoi qui n’appartiennent pas à Sartre ? (2e topique, 1920).
En tout cas, merci Guido : à cause de ton sale petit bonhomme dans son bus, je ne sais plus quand je suis. Déjà que j’avais pas trop le sens de l’orientation !
Le présent n’existe pas ! Le présent n’existe pas ! Essaye encore, petit scarabée...
Il ne répond jamais aux doléances ! 22 mars 2010, Guido Alaimo IP:348b6015f81e6ca9
Oups ! effectivement Sartre ne pouvait pas avoir trouvé ça, mais c’est sûr, "moi", il connaissait bien !
Et je ne me fais aucun souci pour toi afin d’apprivoiser le renard temps qui a rendu la Rose importante ...
Merci !
Il ne répond jamais aux doléances ! 21 mars 2010, Cassiopée IP:2bd0b03aba58fc02
Rires... Oui, je confirme le "asséner" : j’ai mis des lustres à réussir à être dans le "ici et maintenant" et voilà que tu nous dis que le présent devient instantanément du passé ! Je suis donc dans le "ici et avant" ? Non... ne me dis pas en plus que le ici est ailleurs ou qu’il n’existe pas ou qu’il est un trou noir !!!!!
Il ne répond jamais aux doléances ! 22 mars 2010, Guido Alaimo IP:b96bfe350e9f6ae3
Excellent ! 
Euh ... je n’ai pas dit que le présent devient instantanément du passé mais pire que ça : c’est le futur (la fraction de seconde suivante) qui le devient = le présent est absent !
Mais entre tes avant, ici, maintenant et ailleurs là c’est moi qui suis "asséné" ! Manque plus que le ça et le sur-moi de Sartre et là il n’y a plus qu’à prendre une bonne cuite pour s’en sortir ! Mdr ....
Conclusion : mieux vaut vivre que se regarder vivre ... et je n’ai plus qu’à virer mon texte !
Merci à toi pour ton bel humour... finalement je crois que je vais continuer à t’assommer : c’est trop fun.
Il ne répond jamais aux doléances ! 20 mars 2010, Cassiopée IP:2bd0b03aba58fc02
Dis-moi, Guido, sur ta boîte à lettres, serait-il écrit : Mr Lachute ? Tes fins me réjouissent : elles sont à la fois cocasses, inattendues et malicieuses. Tu nous assènes des pensées philosophiques (j’ai bien aimé l’idée de la seconde de présent qui devient instantanément du passé) et tu termines sur une pirouette, l’air de rien de celui qui ne se prend pas au sérieux : j’aime !
Il ne répond jamais aux doléances ! 21 mars 2010, Guido Alaimo IP:d7b44df08913817e
Je suis ravi que tu aies aimé le clin d’œil de la chute d’autant qu’une certaine "malice" (j’aime !) permet de relativiser bien des choses surtout lorsqu’il s’agit du temps ... et de l’espace ! Et c’est encore plus vrai dans le domaine où ce texte s’est risqué et dans lequel nul ne détient de vérité universelle.
Je vous "assène des pensées philosophiques" ?... euh ... asséner c’est proche d’assommer non ? Rire ! Promis, la prochaine fois j’éviterai !
Merci Cassiopée pour ton réjouissant commentaire.