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Et dire que je m’aime tant : grand un
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> Et dire que je m’aime tant : grand un 13 juillet 2005, Roland IP:0a26be326165f9a6
Ah ça, l’avantage de se réveiller sans corps, c’est qu’on a plus besoin de mettre des chaussures ....
Pourquoi je dis ça moi ?? c’est nul !!! parcequ’en ce moment je met des nu-pieds, et ça va très bien ....
D’ailleurs, en parlant de pieds, ça me fait penser que j’ai oublié de baisser le son du frigo !
> Et dire que je m’aime tant : grand un 13 juillet 2005, patrcik IP:3b4f8985139267c7
Un jour je me suis noyé dans un frigo à force de pisser et c’était un de mes premiers textes publiés dans ces lieux où l’on encense le verbe. Muni d’une canne à abricots j’irai un jour vous le rechercher pour que vous en dégustiez toute l’absurdité.
Mais assez parlé de moi (dommage), je vous remercie à pleines dents de votre visite qui m’a enchanté, vraiment. Je crois que l’on vit avec soi-même à son corps défendant (à méditer
> Et dire que je m’aime tant : grand un 13 juillet 2005, Aimelasorc IP:652c5795036fd23f
Genre d’humour que je j’aime malgrès la complexité du sujet. Se perdre c’est dur et pathétique. Je connais des personnes qui se sont perdues et ne se sont jamais retrouvés contrairement à toi. Cela s’appelle la folie ( la vraie)
> Et dire que je m’aime tant : grand un 13 juillet 2005, patrcik IP:3b4f8985139267c7
De la folie on dit souvent moultes choses mais qu’en sait-on vraiment ? Il y a la douce, l’ultime, la sournoise qui persuade que l’on y échappe mais tout être humain est par naissance fou d’accepter la société.
Ici... simple divagation d’esprit ou de plume (je préfère car d’esprit je suis sain) où les mots s’enboîtent entre réel et virtuel. Puis d’être ici (pour un instant) réunis participe à forme de folie, c’est-à-dire communication avec des êtres d’un au-delà.
Merci de ta courtoisie.
> Et dire que je m’aime tant : grand un 13 juillet 2005, Viviane IP:d354a0d37c4af75e
Heureuse que Vous ayiez retruvé votre entièreté, il m’eût été désagréable de constater votre définitive dissociation. Car c’est ainsi que nous vous aimons.
J’ai hésité entre rire et larmes en vous lisant, et ces sentiments ont aussi du lointain formé une grande boucle qui me laisse comme toujours admirative de l’inventivité, du style percutant , de l’humour derrière lequel se cache... votre moitié imperdue.
Puis-je vous embrasser ?
> Et dire que je m’aime tant : grand un 13 juillet 2005, patrcik IP:3b4f8985139267c7
M’embrasser ? mais vous en laisserai-je la possibilité tant à votre bouche je suis suspendu ? Vos compliments me vont droit au ventre et sous eux je me plie pour vous baiser la main, source de cet ultime bonheur où réalité et étrangeté (dite aussi virtualité) se marient pour procurer aux simples vivants que nous sommes cette fécondation de l’esprit mais aussi (avec vous) du cœur et quasiment de tout le corps à travers vos mots évocateurs.
Merci d’être.