En réponse à..

C’est étonnant et je sais que je vais te faire plaisir, (je pense très fort à toi, Delphine) ton beau texte me rappelle une chanson de Barbara : Pierre...

J’aime le refrain court entre les paragraphes, qui se termine par "vous". L’autre avant tout, obsédante pensée, ouverte vers le passé, mais sans souffrance...

C’est vrai que tu me fais plaisir Viviane avec la comparaison avec Barbara. J’ai en effet écrit ce texte après avoir réécouté un CD de la grande Dame mais c’est plutôt la chanson Marienbad qui m’avait inspiré.
J’aime le vouvoiement, je trouve qu’il apporte aux sentiments un je ne sais quoi de tellement plus romantique et nostalgique.
Merci de ta lecture et de tes pensées...
Bisous.

Rester dans le passé peut retenir de vivre le présent, mais se tourner vers le passé pour le contempler et ainsi faire revivre des personnages marquants, est une benediction ; c’est peut etre ainsi que nous demeurons eternels, aussi ; par le souvenir de ceux qui nous ont marqués, et le souvenir que npous transmettons ainsi à ceux que nous marquons à notre tour...episode en finesse, douceur ;

En effet Pierre, je pense que l’éternité réside dans le souvenir. Tant qu’il y a au monde une seule personne qui pense à toi, tu continues de vivre à travers elle. Je crois que la mort réelle n’intervient que lorsque les traces de toi sont toutes effacées.
Pour ce qui est du reste, il faut savoir regarder vers hier, même si les souvenirs sont parfois bien pesants, ils font partie de nous et c’est peut-être en eux que l’on trouve encore la force d’avancer.
Merci de ta lecture, c’est toujours un plaisir de te croiser....

Oops ! Ch’ suis pos d’accord avec Vani..
Moi j’adore la longueur/langueur de cette phrase initiale
"Lassitude d’une journée qui s’étire à n’en plus finir comme un gros chat paresseux". Le rythme est précisément à la juste mesure de l’étirement félin.

Non, j’aime ces états d’âme tels qu’ils sont exprimés car je ressens le climat comme si je fredonnais moi-même la berceuse de Brahms à la jeune Delphine.
Oui, c’était moi ce farfadet qui chantais alors... ;o))

Merci Delph.

Bon ben comme d’hab, tu as fait de ce texte une excellente lecture Zoltar.
Je voulais en effet que le contraste entre l’ennui de la journée et les souvenirs qui allaient entraîner cette mélancolie soit plus saisissant.
Pour ce qui est de la berceuse, c’était donc toi, il me semblait bien que cette voix ne m’était pas inconnue....
Dis, tu me la chantes encore....?
Merci JP.

Pour ce soir, je te donne la musique JUSTE LA MUSIQUE MALADROITE QUE JOUAIENT JADIS LES ÉLÈVES DE LA MÈRE DE BERNARD, TANDIS QU’À CÔTÉ, IL RÊVAIT AUX ÉTOILES
Dans quelques jours, je te posterai MES paroles sur cette musique apaisante.

Bisous espécial convalescente.

Merci Jean-Pierre...j’ai cru m’entendre au piano...je crois que c’est le premier morceau que j’ai appris à jouer....lol
Dis moi quand tu comptes poster TES paroles...car tu me donnes envie d’écrire aussi sur cet air...ça pourrait être très drôle...
Bises pas contagieuses....

Je les posterai vendredi soir sans doute car demain je suis en forêt de Brocéliande (Vrai de vrai !)

J’espère qu’elles te plairont. Je te les dirai sur une musique en MP3 un peu plus élaborée déjà. ;o))

Bonne nuit Delphine !

Alors comment était la forêt de Brocéliande ?
Bonne nuit à toi Merlin....