En réponse à..

J’entends claquer le vent et les vagues contre les roches...
La forme de ton poème, sac et ressac est délice du regard.. merci Toro !

Ouhla ! C’est que j’ai pris du retard dans mes commentaires là moi !
Merci Vivi, c’est un vieux textes que j’avais écrit, lorsque Delphine et moi vivions vers les bords de la Mer du Nord.
J’ai toujours été impressionné par l’importance des grandes marées ou la mer se rtire à perte de vue et revient en rouleaux à la vitesse du cheval au galop (soit-disant) ;o)
Bisous ;o)

quelle musique pour la fille de bord de mer que je suis encore, vivant retirée dans ses terres.
Je retourne toujours vers les plages aux grandes marées d’équinoxe....
et j’assiste à cet éternel combat que tes mots mettent si bien en scène !

Oui et merci Catherine, tu as bien compris cela !
La mer s’effleure de ses caresses puis s’etouffe doucement...
Au loin les grands rouleaux sont là pour ranimer cette douceur nonchalante.
Dis moi où tu habites ? Tu es de la famille de ceux qui doucement laissent l’empreinte d’un pied nu sur la plage..

t’es sur que c’est de la mer que tu parles. J’ai l’impression que c’est de moi tant le tableau est vrai . Je suis tout cela en ce moment. Usée, démontée, fatiguée, retirée.

Mais non, mais non, mais non Aimela !
je serai, nous serons, ces grands rouleaus au loin qui ravivent ta flamme !
Tu peux compter sur nous ! ;o)