> De l’impression d’être "encore" en vie 12 août 2005, Cléo IP:97be14205d92a76d
C’est donc une "avant suite" que tu as écrit Claude !! 
Réussite encore une fois, beaucoup d’expressions à garder comme petites merveilles... et le sourire toujours !
Un portrait bien tiré, comme souvent, on s’attache réellement à ces deux personnages dont on a envie de suivre les tribulations... encore une fois !! 
> De l’impression d’être "encore" en vie 12 août 2005, Claude Braize IP:9760daa584dabca7
Merci ! Merci beaucoup !
En fait, je m’attache beaucoup à ces deux personnages, aussi, et je les découvre un peu plus chaque jour : Catherine au Ski, Claude mange des nouilles au beurre, C&C achètent un chat siamois ou, pire, font des enfants dans leur lit (parce que chez Casto y’a pas tout ce qu’il faut !), ... Oui, logiquement
Cela dit, Delphine a raison sur les moyens mis dans la fin de cette nouvelle.
Quant aux expressions, aux images, elles s’imposent d’emblée. Je ne sais plus qui commentait un de mes textes en parlant de San Antonio ? Compliment, certes, mais injustifié car je n’ai jamais lu un SA de ma vie. J’le jure ! Split ! En revanche, Audiard, les Brèves de Comptoir, les Guignols, les Nuls, Groland, Marc Villard, Raymond Queneau, Daniel Pennac, les pubs minables, mes enfants, la rue, le métro, ma "Catherine", ... sont des sources d’inspiration et des vecteurs de verve quasi inépuisables. Mais, je ne recopie rien, à part quelques bouts de chansonnettes (au fait, as-tu remarqué ici ’Amsterdam’ de Brel ?).
Bon, bref, je continue
A bientôt - Amicalement - Claude
> De l’impression d’être "encore" en vie 11 août 2005, Delphine Lemaire IP:01937a6465251c0d
J’ai bien aimé le portrait de l’auteur minable et ses mésaventures...je me régale toujours autant des images que tu utilises comme par exemple : "j’ai la peau plissée comme un Sharpei ou Brigitte Bardot - joies du mimétisme !"
Une petite critique cependant....la fin est trop prévisible et fait un peu retomber l’ambiance...mais ceci n’engage que moi....!!!
Amitiées...
> De l’impression d’être "encore" en vie 12 août 2005, Claude Braize IP:9760daa584dabca7
Je déteste moi aussi cette fin de compromis (chose due). Je cours encore après quelque chose de plus valable sans pouvoir l’attraper. Chaque fois, le talent se dérobe.
Ceci étant dit, les aventures de Catherine et Claude ne sont pas finies. C’est ici la rencontre. Dans "joies de l’estive" ils sont mariés avec enfants.
Prochainement sur votre écran (après une semaine de vacances en Auvergne sans Internet, parce que je n’ai pas été sage, double punition) : "A la fête à Catherine", qui est pratiquement terminé.
Pour le reste : Merci !
Amicalement - Claude
Cher auteur,
Très belle surprise que le récit subjectif de cette première rencontre.
J’ai aimé ses références, son délicat style "bukowskien", et surtout le contraste avec le père de famille subissant le supplice de la plage bondée de la côte basque ! Un temps pour tout ?
Pour la fin, le coup de l’Audi est peut-être un peu "too much". Pourquoi pas une rencontre fortuite dans un train ? C’est tellement magique un train !
Merci pour ce bon moment et... à bientôt !
Une lectrice reconnaissante.
Cher auteur,
Très belle surprise que le récit subjectif de cette première rencontre.
J’ai aimé ses références, son délicat style "bukowskien", et surtout le contraste avec le père de famille subissant le supplice de la plage bondée de la côte basque ! Un temps pour tout ?
Pour la fin, le coup de l’Audi est peut-être un peu "too much". Pourquoi pas une rencontre fortuite dans un train ? C’est tellement magique un train !
Merci pour ce bon moment et... à bientôt !
Une lectrice reconnaissante.