> La mort me fait souci 5 septembre 2005, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
Mourir ne me pose pas problème... souffrir : oui !
J’aimerais juste ne pas mourir avant que mon fils ait assuré son propre avenir.
Là, n’est pas le propos, vos vers sont magnifiques d’humour qui ne masque pas l’inquiétude et la réflexion que vous inspire la mort.
Toujours un plaisir de vous lire. Sourire
> La mort me fait souci 6 septembre 2005, patrcik IP:9749dbca291471a6
Remerciements multiples à Vous qui savez si gentiment visiter et apporter confiance et envie de progresser. Il est vrai que tout cela m’inquiète parfois car j’ai toujours peur d’avoir oublié quelque chose avant de partir. Alors je me dis que je reviendrai (peut-être 
le chercher si On me demande de recommencer !
> La mort me fait souci 5 septembre 2005, Aimelasorc IP:dd8f0a1a039b36e9
Même si la vie m’en a fait voir de toutes les couleurs, je ne suis pas non plus pressée de ...mourir
> La mort me fait souci 6 septembre 2005, patrcik IP:9749dbca291471a6
Vous avez entièrement raison : on a tout notre temps (et malheureusement pas celui des autres) pour mener notre barque sinon à bon port mais au moins à l’abri des gros coups de vent. Et si par malheur on doit affronter une tempête, alors que notre frêle embarcation fasse ce qu’elle pourra ! A quoi bon se martyriser sur le futur alors que l’on a déjà assez du mal avec le présent ?o) Soyez assurée de ma fidélité à me rapprocher de vous par les mots.
> La mort me fait souci 5 septembre 2005, Moun IP:b7a3d48971075fd6
Vivre chaque instant comme s’il était le dernier ; rien de tel pour se prouver que la vie vaut la peine d’être vécue et au moins on se fait des souvenirs !
Que ce soit en rimes ou en prose, votre style est reconnaissable !
> La mort me fait souci 6 septembre 2005, patrcik IP:9749dbca291471a6
Me voilà mal ! Il me faudra changer radicalement pour vous surprendre, détacher les mots, hacher les phrases, tourbillonner et tricoter afin de devenir méconnaissable
A mon humble avis, il reste amusant d’explorer un peu toutes les pistes qu’offre la plume et de s’exercer à divaguer que ce soit en vers ou en prose, en tendre ou en dramatique, en authentique ou en fiction. Non que cela prouve un quelconque talent mais plutôt une curiosité, une envie de découverte, comme nous le faisons à travers ces échanges où nous finissons par tisser de l’Autre une image (sinon réelle mais très personnelle).
Soyez assurée de ma sympathie et du grand plaisir que j’éprouve à vous retrouver dans ces détours.