En réponse à..

Ben moi je dis tout simplement superbe !

On entre dans les souvenirs comme dans un temple sacré et dans cette sacré vie ensaucissonnée entre gras et crassiers (comme on dit chez moi et terril dans le nord)

Oui j’aime beaucoup cet instantané à la Doisneau en noir et blanc dont le négatif est un peu rayé patr le temps qui coule...

Et puis il faut le dire, un merlan qui aime la cochonaille ça court pas les rues !

Merci M’sieur vous êtes decidement très fort ! ;o)

Doisneau... là vous avez le doigt fort ! Mais je vous remercie cher BB de tant de gentillesse car je sais que vous aussi avez été victime de ces sévices que l’on ne pouvait cacher ! Et dire que cela participait à notre éducation ! ma foi, le monde change heureusement car au niveau hygiène (la serviette réceptacle est invention, enfin je pense) c’était souvent limite.
Merci de votre venue enthousiasmante !

Non, non ! Doisneau, vraiment !
Oui nous sommes les enfants de deux guerres mondiales toutes proches à nos naissances et, ou les priorité etaient d’elever les enfants en reconstruisant pour leur avenir. Alors après tout pourquoi s’emberlificotter dans des considérations envers les petits humains..On taille on tranche, on coupe ! Après tout ça ira bien ainsi !
Offrez moi encore une de vos tranches de vie...c’est du Doisneau pour de vrai vous dis-je..

Charmant ce Marcel...on en reprendrait bien une petite tranche....!!!!

Je comprends pourquoi vous avez toujours l’air d’être fâché avec votre coiffeur maintenant....Il y a des traumatismes que nul ne pourra jamais effacer.... ;o) (ooops un smile !!)

"J’ai finalement grandi et quitté cette ville", sage décision..!

Vous avez bien retranscrit ces instants douloureux de l’enfance que nous avons tous vécu à des échelles différentes, car malgré l’humour de surface, n’en reste pas moins la terreur enfantine persistante qui traverse le miroir.
Votre Marcel était pour moi une vieille tante de mon père qui ressemblait à une sorcière avec un énorme bouton couvert de poils au menton et qui ne cessait de m’embrasser quand on m’obligeait à lui rendre visite. Ma mère me disait à chaque fois, ce n’est qu’un mauvais moment à passer...Peut-être, mais quel moment...!!!!

C’est étonnant comme certains souvenirs ne veulent s’effacer. Ainsi chez mes grands-parents (mineurs) on allait chez le "polonais" qui coiffait tout le monde selon le même modèle.
Chez mes parents, il y avait bel et bien cette odeur effrayante de la bouche de celui qui allait œuvrer pour mon malheur sous le regard indifférent des autres clients adultes.
Et chez les curés, fallait jamais avoir un cheveu sur les oreilles.
Merci de votre venue, rassurante.

"Sous le regard indifférent des autres clients adultes" je crois que c’est bien là le pire...Les adultes n’arrivent pas à comprendre ce que nous les enfants nous pouvons ressentir lorsque nous sommes confrontés à ce genre de situation....