Que veux-tu y faire ! 2 février 2006, Kyldown IP:bbd4c8dd2ed1b207
Les Terres Froides ...
Perso, j’aime les points de suspensions qui laissent le mot se finir, trois petits points qui font mots ... (cf comm. de Violaine) :D
Pour le reste ... Terres Froides, j’en connais beaucoup par là-bas et très justement, le tableau me glace en des souvenirs adolescents.
Comment ? pourquoi ?
Je ne comprends toujours pas ...
Que veux-tu y faire ! 3 février 2006, patrcik IP:cb1157db76db92a5
Merci de votre lecture et navré si je ravive quelques souvenirs qui vous sont très personnels. J’ai toujours été fasciné par ce nom "Terres froides", m’y aventurant pour mon travail qu’avec appréhension comme s’il s’y dissimulait on ne sait quelle atrocité. Cette histoire est née en regardant des personnages à travers la vitre de cette voiture qui me sert trop souvent d’abri. Peut-être est-ce une simple introspection.
Que veux-tu y faire ! 2 février 2006, Violaine IP:e6197395b3e52eee
Après le commentaire sur le texte, voyons une correction qui me semble nécessaire. Cher Pat ! qu’advient-il de la négation ? Serait-ce le ton du texte, le milieu qui permettent de passer outre cette règle ?
Et voyons si ma mémoire ne défaille pas, il me semble que tu as perdu le la, pour un l’a qui ne tripote pas dans le sens du poil, la tripotait, ou l’a tripotée, il faut un choix mais pas un mélange imparfait.
ensuite il me semble que la règle impose de coller les points de suspension au mot qui précède..
Voila mon ami ce que je pourrais en dire si votre humeur n’est point chagrine qu’il me soit donné de vous corriger ...
Je jubile !!!! Vous n’êtes point parfait, et cela humanise ...
Patttttttt !!! bienvenue au club des têtes en l’air !
))
Que veux-tu y faire ! 2 février 2006, patrcik IP:cb1157db76db92a5
Arghhh ! Ce LA en effet et non cet apostrophe stupidement mis. Désolé, je suis un andouille !
Pour la négation, disons que j’ai fait ce choix osé pour désabuser le style, à l’image des personnages (bon, c’est comme on veut).
Pour les points de suspension, la règle officielle est la suivante :
si la phrase continue après, ils se détachent du mot qu’ils suivent et du mot suivant qui conservera une minuscule.
si la phrase se termine ainsi, alors ils s’accolent au dernier mot et le suivant, après un espace, prendra une majuscule.
Voilà ce que j’ai appris et vérifié. Ouf ! Des fois j’ai peur
Que veux-tu y faire ! 2 février 2006, Violaine IP:e6197395b3e52eee
Amertume des âmes sans espoir, des vies foutues d’avances dans un milieu blasé.
Texte sans faille pour démontrer l’indémontrable.
Ravie de te lire Patrick, ailleurs qu’en commentaire, c’est si rare !
Amitié à toi le voussoyeur d’antan.
Que veux-tu y faire ! 2 février 2006, patrcik IP:cb1157db76db92a5
Merci de votre lecture, Belle Amie d’Antant et de maintenant. Oui, le vouvoiement reste de mise et si parfois je vous tutoie, ce n’est que l’expression du plaisir qui me gagne !
Des personnages un peu sordides dont je n’arrivais à finaliser le début de Vie. Cette grossesse me turlupinait et d’induire une paternité indéfinie finalement me convient. J’aime laisser les textes se faire d’eux-mêmes et qu’importe le résultat, après tout ce ne sont heureusement que des mots.
Grrr, encore un mot en liberté, contraction d’ENTENTE et d’ANTAN. Un choix catastrophique mais significatif (pour me faire pardonner).