En réponse à..

J’aurais été bien embêtée si l’on m’avait imposé comme début d’écrit : "Je suis..."
Mais là, heureusement il s’agit de toi !!! Et je te reconnais...
"La dauphine et le loup" tiens, je ne l’ai pas mis en ligne mais si cela sied au président et à sa secrétaire, je me ferai un plaisir de le faire.
Un très beau texte Bernard, fort et sensible.
Sourire

Je viens de me rendre compte que ma réponse à Zoltar faisait un peu pompeuse et très à côté de ce que je voulais faire passer.
Être, c’est faire partie d’un tout, comme d’un rien. C’est le mixage d’une pensée vers d’autres bien plus fortes.
C’est sans le savoir, être le neurone ou la cellule d’un ensemble bien plus conséquent et dont nous ignorons la chose. C’est pourquoi, je suis toi, je suis vous, comme vous êtes toutes et tous, un bout de moi et un ensemble merveilleux..Mais en ce qui me concerne je suis bien loin d’être merveilleux )))
La dauphine et le loup ? J’en serai très heureux de relire ici ce très beau texte. La plume et l’encrier ça sert à ça aussi, non ? ;o)

Tu es, Bernard ! C’est sûr, je le ressens à travers ses mots. L’existentialisme est un QCM métaphysique que l’on se pose à soi-même.

Le loup, puis le chien et le dauphin bien sûr sont avec le cheval et le chat les meilleurs amis de l’homme. (Oui, la dauphine aussi bien sûr !...)

On dit aussi qu’ils sont des "conquêtes" du même Homo Sapiens. Mais, si c’était le contraire ?
Euh, tu l’a pas trouvée dans un delphinarium Ô loup du Mercantour ?

Je suis (non ! pas au poker. Là, je fais le maure...)
Je suis
Alors dis-lui :

Dis-lui,
Qui je suis...

Fais-ça pour moi, dis-lui,
Que le jour sans elle,
Me semble moins long,
Dis-lui,
Quitte à mentir, dis-lui,
Que je réalise,
Qu’elle avait raison,
Dis-lui,
Qu’à nouveau j’aime vivre,
Que je ne suis plus seul, déjà,
Qu’elle n’ est plus rien pour moi,
Dis-lui,Oh, oh, oh, dis-lui,
Oh, oh, oh, dis-lui,
N’importe quoi.

Dis-lui,
Fais-ça pour moi, dis-lui,
Que j’ai bien fini, oui,
D’être malheureux,
Dis-lui,
Que j’aime une autre fille,
Dis-lui tout ce que tu voudras,
Mais il faut qu’elle te croit,
Dis-lui,
Que plus jamais, dis-lui,
Je ne pense à elle,
Quand tu la verras,
Dis-lui,

Loulou Gasté
(Sacré menteur Louis !)

Tiens me voila bien bête devant cette phrase :
Répondre au commentaire !
Comment faire, dire et exprimer après toi ?
Comment se soumettre a sa volonté alors que tu es volonté ?
Comment ? Comment....
Alors je tente des phrases bêtes, du style Merci Zoltar, Merci l’enchanteur...Mais je ne trouve pas de mot...
Comment ? Comment ? Être l’homme de ma dauphine, le loup de ma copine, le hibou des nuits ouh ouh,et être moi ?
Je suis l’instant, le bref, l’indépendant, le seul et le monde, je suis toi...et tous les autres

Alors on pourrait dire que l’homme est un loup pour l’homme ?

Nous sommes tous notre pire ennemi Bernard, en tout cas je sais qu’un loup qui aime un dauphin ce n’est pas un fauve.

Amitiés

Oui, je le pense Roland...
Vivre pour vivre c’est une chose, par obligation en est une autre...

Ne mets pas ce texte pour assurement ma volonté...Je ne suis qu’un exemple parmi les autres..
Je suis, je resterai...Ami pour toujours bien au delà de ce que l’on peut imaginer ;o)