En réponse à..

c’est un poème d’une infinie délicatesse, une lettre, un aveu qu’on ne reçoit qu’en rêve ...
Amitiés éric

Ton commentaire m’a fait très plaisir Eric car en fait ce texte n’a pas la construction d’un poème et c’est pourtant cette impression qu’il donne, et c’est ce que je recherchais.
Merci de ta lecture.
Amitiés.

Puis-je me permettre une critique...
L’intro me gène, je la trouve en rupture, trop en contradiction avec la douceur du développement. Je ne suis sûre de rien, mais j’aurais tendance à la réduire au "strict" minimum" :
"Journée qui s’étire comme un gros chat paresseux.
Heures qui s’égrainenet comme des années : arrêt sur ma vie.
Je pense à vous (...)"
En quelque sorte garder la nostalgie mais faire fi de la mélancolie.
Je t’entends d’ici dire que je suis trop optimiste à vouloir toujours tout positiver !... bon OKi je me tais.
Sourire d’une admiratrice... à votre service !

Une critique ? J’sais pas, j’vais voir...mais oui bien évidemment...!!!
En ce qui concerne l’intro, je voulais la prolonger pour montrer cette espèce d’énervement qui tenaille quand l’ennui arrive, une espèce de colère sourde qui semble arrêter le temps. Et aussi pour contraster avec la mélancolie qui va découler de cet ennui pour laisser place à la rêverie nostalgique....
Ca répnd à votre question M’dame...?
Sourire de rescapée...fait le texte plus léger....

Quelle douceur dans ce texte !!!!
Confirmation s’il en est que "rime ou prose" peuvent être poétiques tout est dans la manière

Roland

Douceur, c’est tout moi...lol...!
C’est vrai que la prose peut parfois être aussi poétique qu’un poème...et j’aime jouer à ce jeu là...
Merci de ta lecture Roland et bonnes vacances...