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Tes mains.
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> Tes mains. 12 août 2005, Viviane Lamarlère IP:3ee4fd0c06e3d852
Un texte terrible dans sa brièveté, qui commence comme une histoire d’amour mais on devine viet, ou plutôt on reçoit en pleine figure.
j’en ai connue une qui à soixante ans s’est clochardisée plutôt que continuer de subir.
Terrible situation, qui fait tant de victimes, on ne le dénonce pas suffisamment et c’est bien ce que tu fais là, ce renvoi à des témolignages. Merci, Chris ;
> Tes mains. 12 août 2005, chris2rire IP:d07b21f840b2a7c4
Merci Viviane. C’est l’isolement de ces femmes qui fait qu’on ne voit pas et qu’on n’entend pas, alors après, comment dénoncer ?
> Tes mains. 11 août 2005, Delphine Lemaire IP:01937a6465251c0d
C’est un thème terrible que celui-ci Chris....la violence conjugale a été si longtemps un sujet tabou. Heureusement aujourd’hui certaines victimes osent enfin parler.... trop peu le font mais il y a déja un progrès...Bravo !
br>En début d’année j’avais écrit un texte sur le même sujet, te lire m’a donné envie de le poster sur ce site.
> Tes mains. 12 août 2005, chris2rire IP:d07b21f840b2a7c4
Merci Delphine. La violence conjugale fait partie de ces violences silencieuses. Elle règne dans tous les milieux, les plus aisés comme les plus miséreux.
> Tes mains. 11 août 2005, patrcik IP:7ac0e3ca52506fe6
Témoignage poignant où la plume se fait scalpel pour nous inciser cete horreur ici racontée et le lien vient rajouter à ce que l’on ne voudrait entendre.
Reste qu’on se demandera (et le récit sur le lien est évoquant) qu’est-ce qui peut bien entraîner ce changement entre amour et violence, entre ses mains courantes puis violentes ?
Je m’abstiendrai de noter par respect pour ce combat légitime qui consiste à dénoncer ce qui reste encore tabou.
> Tes mains. 12 août 2005, chris2rire IP:d07b21f840b2a7c4
Merci Patrcik. Tu n’as pas à te justifier au sujet de la note, j’ai dit ce que j’en pensais sur le forum. Les raisons pour lesquelles les caresses se tranforment en coup sont multiples. Mais souvent, c’est dû à de l’égoîsme dans lequel se réfugie certains qui ne peuvent faire face à leurs responsabilités.