-
En réponse à..
Mes histoires d’amour.
- Accueil
- Réactions
Mes histoires d’amour. 25 octobre 2005, patrcik IP:de3a4220323f6417
En repensant, j’ai en tête cette chanson "Les histoires d’amour finissent mal en général" (Rita Mis). Pour conclure, je dirai que l’âme n’est qu’exceptionnellement "brisée et détruite" puisque c’est bien cela qui la différencie du corps : l’âme est éternelle et bien étrange serait celui qui peut jurer que demain ne sera pas un autre jour. Pour les uns, ainsi est la Foi, pour d’autre le Secret Espoir. Moi je n’en ai qu’un : celui de vous féliciter à nouveau.
Mes histoires d’amour. 25 octobre 2005, Delphine Lemaire IP:83aff66bf553439a
Aragon disait : "il n’y a pas d’amour heureux"...un grand poète comme lui ne pouvait se tromper....
L’âme est éternelle mais elle peut souffrir et ainsi se briser et se détruire pour tel un phénix renaître de ses cendres pour briller à nouveau....
Merci encore de votre commentaire....
Cette idée de renaissance de l’âme rejoint son immortalité mais évoque égalemment la dualité du suicide qui n’est qu’autre façon de recommencer, du moins le croit-on. J’apprécie entendre Léo chanter Aragon, il est de la magie chez les deux.
Je ne pense pas avoir jamais entendu Léo Ferré chanter Aragon...une lacune dans ma culture musicale qu’il me faudra corriger...car je les aime tous deux. Je le connaissais mis en musique par Brassens ou par Ferrat....
Merci de combler ainsi mes manques....
J’ai craint un moment le pire tant il m’arrive fréquemment de tout mêler puis ce matin, à la lecture de votre réponse chanrmante, j’ai fait une rapide recherche et vous livre ce lien sans autre intérêt que d’avoir en titre la confirmation qu’heureusement je ne suis fou (sinon de nous tous pour ne citer que Vous) :
Merci pour le lien....
Vous dites : "pour ne citer que Vous"...est-ce à dire que vous me trompez....??????
Mes histoires d’amour. 25 octobre 2005, patrcik IP:de3a4220323f6417
Que voilà tragiques histoires mais fournissant agréable lecture. Comme quoi le malheur des uns fait souvent le bonheur des autres et c’est bien là l’ambiguïté de l’écriture. La plume peut saigner, le lecteur s’en désaltère et toute publication (comme ici) reste un festin offert, à charge pour celui qui le lit de s’en montrer digne par l’authenticité de sa lecture, sa dégustation des maux pour s’en imprégner et essayer ainsi de participer à ce partage (et non une curée symbolisée par quelques mots banals et griffonnés à la va-vite).
Mes histoires d’amour. 25 octobre 2005, Delphine Lemaire IP:83aff66bf553439a
Un célèbre poète n’a t’il pas dit :"les chants les plus tristes sont souvent les plus beaux et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots"
La douleur est bien souvent moteur d’inspiration....
Merci de votre lecture....
Si la douleur est source d’inspiration, prenons garde de nous y complaire au rsique de sombrer dans la morosité véhiculée par les mass-médias. Bon sang ! Sourire, rire sont les deux mamelles de la déraison, authentique clef du virtuel et de l’esprit. Puis je sais qu’en comédie vous avez aussi un don appréciable.
Oui bien évidemment rire, sourire...mais encore faut-il en avoir le cœur....
Tout cela reviendra avec le soleil....