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Je viens de relire ton mail du 16 Février dans lequel tu me parlais de choses et d’autres, de cette photo d’une œuvre de Bascoulard, de cet accident ferroviaire, de cette année noire pour la Belgique, mais aussi de tes projets… et tu concluais en me disant A très bientôt !
Et puis ce matin, cette terrible nouvelle, ton départ définitif …
Tu comprendras que j’ai les larmes aux yeux en tapant ces quelques lignes car je viens de perdre un ami, un complice, quelqu’un avec qui je partageais depuis des années cet espace de liberté et de convivialité que représente La Plume.
Il n’y a jamais eu le moindre nuage entre nous deux, je sais que nous avions les mêmes valeurs et la même citoyenneté, toi le Belge et moi le Gaulois ! Nous étions avant tout citoyens du monde… Tu devais venir me voir l’an dernier et pour des raisons de santé tu as dû remettre cette visite à plus tard. La vie est une garce et la mort sa complice mais, Frédéric, pour moi qui termine ce texte en pleurant à chaudes larmes, saches que je ne t’oublierai jamais ! Pour toi c’est fini, pour tes proches l’épreuve ne fait que commencer et je suis de tout cœur avec eux… Salut mon « Cousin » de Bruxelles ! Jean-Claude, un Breton qui en a gros sur le cœur…

Je suis stupéfait par cette nouvelle, atterré et profondément attristé. C’était pour moi un ami de plume de longue date, pétri de qualités humaines et d’humour, avec un cœur "gros comme ça", apportant à notre site une généreuse convivialité dont il avait le secret ainsi que tout son talent d’auteur
Après une période d’absence il était revenu vers nous il y a peu et je ne parviens pas à vraiment réaliser sa brutale disparition.
J’adresse mes sincères condoléances à sa famille et en particulier à ses enfants.

Je viens d’apprendre avec stupeur cette horrible nouvelle. Je suis bouleversée et je reviendrai plus tard car les mots me manquent pour dire à quel point il fut un ami "proche"