En réponse à..

Le sujet que tu as su mettre en valeur me touche beaucoup. Lorsqu’on en arrive là, je sais, on oubli tout. II n’y a ni lâcheté, ni courage, juste le moment du rien. Le vide.

Je pense aussi qu’au moment de franchir le pas, on doit avoir l’impression d’être seul au monde, seul avec sa souffrance et son mal être, sans espoir et sans amour....
Merci de ton commentaire Genou....

Petit texte tout en douceur pour un sujet tellement lourd de conséquence qui me fait terriblement peur.
Personne n’est à l’abri d’un tel moment de folie.
Certains qui en ont réchappé ne peuvent eux-mêmes expliquer les raisons de leur geste...

On croit tout donner à l’autre ou aux autres et puis soudain on se rend compte que tout n’était pas assez.
Le suicide reste un sujet tabou car il entraîne avec lui un tel sentiment de culpabilité chez ceux qui restent. Le désespoir est mauvais conseiller surtout s’il s’allie au désamour....
Merci Clo.

J’ai retrouvé toute la pudeur et la délicatesse que j’avais ressenti dans ce texte à ma première lecture. Le suicide... La page blanche... "No comment."
"La voie qui t’emmène vers la chute, irrémédiablement et sanG, la pitié s’égare dans le dédale de tes jeux cruels.
Petit trait rouge sanS ligne droite,..."
Pardon, ce soir je délire, la fatigue sans aucun doute.
Sourire

Si tu te souviens Vanina, j’avais écrit ce texte qui s’appliquait à une contrainte de dix mots imposés.
Alors comme ça on s’amuse à me faire des fautes, certes chargées de sens mais qui m’attiteraient les foudres de Patrick....Ta façon à toi de dédramatiser cet événement qui te touche....
Sourire....