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Cauchemar
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Cauchemar 28 octobre 2005, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
Je ne vais faire que répéter ce qui a déjà été dit, un très beau texte poignant de douleur. Dans la détresse, la force de tes écrits n’a pas de mesure.
Sourire ami
Cauchemar 3 novembre 2005, genou IP:0e28ede12e662604
Cauchemar
Merci Vanina. Je voudrais bien changer de registre, c’est très difficile.
Je vais quand même beaucoup mieux puisque j’arrive à en parler.
Amicalement et gros bisous
Cauchemar 24 octobre 2005, Delphine Lemaire IP:49e4b3df3f68ae33
J’ai modifié la fin de ton poème comme tu semblais le souhaiter genou... ;o)))
Encore un poème très douloureux où la souffrance est palpable...
La vie se transforme parfois en cauchemar...oublier le passé...ou du moins tenter de vivre avec....
Prends ma main Genou...
Cauchemar 26 octobre 2005, genou IP:705be489a7c114b4
Merci Delphine, Il est des jours où rien ne va, mais cela va passer. Quand bientôt je l’espère. Bisous à toi
Cauchemar 23 octobre 2005, patrcik IP:489d971a893b7bad
Ecorchée vous êtes et s’émerveiller dès lors sur vos vers semblerait déplacer et pourtant... et pourtant que d’émoi, que de virulence ici, le tout empoignant le lecteur avec véhémence.
La dernière strophe me semble plus difficile à appréhender. Vous dîtes :
"Je le subis ou je le récuse, / Variation subtile et indescriptible / Montrant que l’inaudible / Cachant le plus sensible."
"Montrant" et "cachant", ces deux participes se télescopent, tout du moins dans la construction utilisée. Vouliez-vous dire : "Montrant l’inaudible / Et cachant le plus sensible" ou "Montrant que l’inaudible / Cache le plus sensible" ?
Vous seule pouvez apporter réponse, car peut-être je me trompe. En tout cas, je suis honoré de cette lecture qui me laisse déposé au creux du chemin. Gageons que nous repartirons main dans la main.
Cauchemar 24 octobre 2005, genou IP:1dc00983ba7c41f8
Toujours des remarques pertinentes et justifiées. En effet à relire le texte, je voulais dire
"Montrant l’inaudible / Et cachant le plus sensible"
Comme je vous l’ai déjà dit, j’ai un peu de mal avec notre langue. Les mots se posent sur le papier comme mon cœur me le dicte. Merci