En réponse à..

Bonjour Delphine,

Un texte d’autant plus poignant qu’il est sobre ... Il évoque l’abîme, il suggère l’horreur, mais il ne dit pas l’indicible ...

Je crois que c’est la vraie façon de parler de ce cauchemar ...

Et puis faire le silence mais ne rien oublier, et ne rien pardonner ni permettre qui puisse mener à nouveau à des cauchemars de ce genre.

Bravo.

Bonjour Jean-Marin,

Comment dire l’indicible ? La sobriété me semble être de mise pour rendre hommage à ces personnes qui bien souvent se sont toujours tues par pudeur.

Stanis ne parlait jamais des camps, la seule et unique fois où il l’a fait en ma présence, j’ai vu quelques larmes couler le long de ses joues, il avait plus de 60 ans...

Surtout ne jamais oublier pour que rien de tout cela ne recommence...

Merci de ta lecture...

Bonjour Delphine,
Silence, larmes, silence et prendre une grande respiration ! Texte au combien douloureux et difficile à commenter.
Que de douleurs infligées, injustes et pourtant ne jamais oublier pour que "Plus jamais ça"
Bien amicalement

Bonjour Moun,
Face à l’horreur, il n’y a pas de mots, le silence et le respect sont les seules réponses.

Parler encore et toujours pour transmettre aux générations suivantes afin que celles-ci ne commettent plus les erreurs d’autrefois...peut-être n’est-ce qu’un voeu pieux...!

Merci de ta lecture Moun.

On ne se rend pas toujours compte de se qui a bien pu se passer. Moi non plus d’ailleurs avant d’aller visité un camp de concentration dans les Vosges et depuis, je n’ai de cesse à penser à tout ce qu’ont a fait subir à ces gens pour rien.
Bravo pour ton texte.
Amitiés..
LGilles

Je pense que l’abomination qui durant ces années a été perpétrée reste bien en deça de tout ce que nous pourrions imaginer.

Je n’ai jamais trouvé le courage d’aller visiter un camp de concentration...

Merci de ta lecture Gilles.