La fille de Douala 11 avril 2010, Annie IP:d3d063be88272ef9
Bonjour Eric et merci pour ce poème. Je vis à Douala depuis plus de trente ans... Ces cinq euros et ceux qui allaient suivre cette nuit-là devaient s’ajouter aux quelques francs récoltés par la grand-mère par la vente de quelques arachides grillées ou de quelques morceaux de bois pour assurer le repas de la famille du lendemain ou encore l’inscription à l’école du petit frère ou de la petite soeur ou les médicaments pour un malade. Difficile à concevoir par les expatriés qui séjournent dans ces pays et assez souvent se permettent de juger et mépriser ouvertement, bien à l’abri dans leur confort financier. Annie
La fille de Douala 13 janvier 2006, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
Terrible phrase que celle-là :
"Je solde mon émoi par un geste infamant"...
Un fort contraste entre un texte calme et presque doux opposé au fond...
La fille de Douala 15 janvier 2006, Eric Bourdon IP:1838b84d1fff4856
je voulais exprimer la lassitude et une sorte d’écœurement impuissant devant un phénomène terrible. je comprends ce qui pousse ces femmes à agir de la sorte, je n’ai pas de solution à proposer et ce sentiment d’impuissance est terrible...
La fille de Douala 22 novembre 2005, genou IP:a6b451b402434af9
Un poème si doux pour une vie bien cruelle. Merci Eric d’en avoir prit conscience. Un texte à métider et à relire.
Messieurs ! Offraient lui un billet sans monter avec elles ! Mais là, c’est une autre histoire
La fille de Douala 22 novembre 2005, Eric Bourdon IP:bf8ae310482faf9e
merci de ta lecture genou. Ce poème est malheureusement le récit d’une histoire vécue ... Amitiés Eric