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Sais-tu que tu m’as tué ?
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Sais-tu que tu m’as tué ? 20 novembre 2005, genou IP:fddf38e6a1f012dc
Toujours de la douleur et de la tristesse dans ce poème. Le calme semble pointer son nez. Le chemin semble bien long.
Sais-tu que tu m’as tué ? 21 novembre 2005, Jean-Marin IP:065c78399b6a90f9
Très juste, chère Genou ... la sérénité est revenue et maintenant, j’aspire à la PAIX ... Ma crise d’ado est terminée
Amitiés
Sais-tu que tu m’as tué ? 20 novembre 2005, florine IP:6fc92340629a7063
"Sais-tu que tu m’as tué ",une toute petite phrase...mais répétée et qui prends tous son sens.
Un vague à l’âme en ton lisant, une plongée dans mes amours morts.
Sais-tu que tu m’as tué ? 21 novembre 2005, Jean-Marin IP:065c78399b6a90f9
Chère Flo, nous avons tous ou presque des souvenirs de ce genre ... Puis la douleur laisse la place, heureusement, à l’indifférence ...
Amitiés
Sais-tu que tu m’as tué ? 18 novembre 2005, chris2rire IP:11f6df5456cc7f1d
Mourir d’amour pour un amour mort c’est encore aimer son amour défunt. C’est vraiment le comble du désespoir de refuser ainsi la vie après un deuil. Mais après tout, on a le droit d’être triste et d’avoir de la peine.
Très joli poème !
Sais-tu que tu m’as tué ? 19 novembre 2005, Jean-Marin IP:1ad3bee9be3791b5
Bonsoir Christine,
Le deuil est un passage obligé lorsque’il y a eu véritablement amour ... Après un veuvage, naturellement, mais aussi après une séparation "entre vifs" ...
Mais il ne saurait durer éternellement, bien entendu ... Au demeurant, dans le texte, il semble bien qu’il ait été terminé :
"Et la nuit qui me sait te renvoie d’où tu viens,
Aux limbes éternelles où pas un cœur ne bat, "
La colère a succédé à la douleur, et c’est signe de bonne santé
Amitiés poétiques et merci pour ce commentaire