En réponse à..

Quand les mots mêlés s’en mêlent et s’emmêlent, il ne reste pas grand-chose. Sauf à lire entre les lignes. C’est avec le sourire que je quitte le sujet. Genou

Sourire, oui c’est ainsi qu’il faut réagir car sans lui, toute boucle ferme l’horizon. Merci de vous être arrêtée encore auprès de moi. Nos textes se doivent de nous refléter et j’aime ainsi être sans rien de précis et en perpétuel devenir.

EH bé ! Je ne sais de quand date ce texte ? mais il semblerait Pat, que tu eusses inventé le rap avant l’heure.
Serais tu la casquette retournée en train de faire pirouettes sur ton séant ?
Je veux t’entendre me la chanter ;o)

Merci Bernard, il est vrai que ces mots-là sortent dont ne sait trop où tant je serais incapable d’en reproduire le ton ! Si tu les trouves rapeteux alors tant mieux. En fait, je me bats avec un authentique rappeur pour lui piquer un texte et le réécrire en vieux français. Il faut savoir faire preuve de patience mais il finit par me les brouter à se faire désirer !o)

Ouh la la, je ne savais pas que le beaujolais nouveau agissait de cette façon sur les neurones...J’vais arrêter immédiatement....

C’est vraiment de vous ???

Votrer dernière phrase est terrible voire assassine car elle ouvre un océan de perplexité à mes neurones épuisées. Vous savez que les vers ne me réussissent et j’intuite que vous êtes entièrement d’accord avec moi. Passons donc sur la piètre qualité du sujet quoique cette absurdité là me reste familière et arrêtons-nous sur votre interrogation : vous me voyez aller récupérer ceci sur les murs des latrines ? Vous me voyez aller feuilleter à la bibliothèque rose cette chose oubliée d’un illustre inconnu ? Oui, j’avoue, j’ai écris (certes il y a quelques temps ceci mais pas autant), oui j’avoue j’en ai encore des rayonnages comme de tout d’ailleurs car je glisse les mots sans retenue. Je veillerai à plus de discernement et vous remercie de votre appréciation (on ne peut dire que d’autres la partage tant ils se font absents).