-
En réponse à..
Jeu sordide
- Accueil
- Réactions
Jeu sordide 26 novembre 2005, Delphine Lemaire IP:98b5af2e9214262a
On récolte ce que l’on a semé...!
Celui qui vit dans le mensonge finit toujours par se faire prendre et ce n’est que justice.
J’ai beaucoup ta prose Moun...(à renouveler..!) surtout quand celle-ci est aussi une belle leçon de vie....
Merci à toi....
Jeu sordide 27 novembre 2005
Tout comme toi, je suis convaincue que le bien-savoir mentir est un art et peu le maîtrise à la perfection. Il suffit d’attendre ! Pour la prose, je te remercie pour tes encouragements.
Merci de ta lecture Delphine...
Jeu sordide 24 novembre 2005, patrcik IP:a92e718d09b7e606
Vous découvrir en prose reste ma passion et vous y répondez avec élégance. J’ai lu puis relu, scrutant le moindre mot car je laissais ce personnage m’envahir et je me sentais bien dans sa peau (dois-je l’avouer ?) car dans sa raideur je retrouvais un peu de ma démarche lorsque je viens lire. J’aime qu’on me prenne et qu’on me guide sans me laisser tomber et c’est là que j’ai envie de vous dire :
Au-delà de toutes les qualités (dont celle de l’élégance du choix des mots et de leur écriture incomparable) qu’il importe de dire mais qui ne sont pas l’essentiel car il faut savoir dépasser ce stade des fleurs bon marché, bref j’ai eu le sentiment que vous me laissiez tomber par terre sans grand égard tant la chute reste brusque et un peu obscure à mes yeux qui aiment comprendre sans effort.
Je me doute qu’il y ait ici métaphore et je la prends d’ailleurs un peu pour moi (pardonnez cette arrogance) mais je sais que vous avez le pouvoir de lisser les mots pour nous les laisser boire sans compter.
Merci de votre infinie patience mais reconnaissons que l’avant-dernier paragraphe reste moins narratif et descriptif que les précédents diablement bien amenés et qui m’ont peut-être trop fait attendre même si je suis très content de ce temps partagé.
Jeu sordide 25 novembre 2005, Moun IP:4f831e87a8e1d9d9
Patrcik, ne me dites pas que vous êtes mon voisin d’en face ? Je n’ose le croire, vous si honnête, si droit ! Je dois vous faire un aveu, je n’ai jamais osé vous suivre... ce n’était pas l’envie qui me manquait mais j’ai peur dans le noir !
Bien évidemment, j’aurais pu inventer bien que ce monde m’est assez étranger, mais encore là, je fus confrontée à un sacré dilemme ! Je vous explique : J’ai couché ces quelques mots entre la première et la seconde tartine beurrée confiturée de mon petit déjeuner et même en mâchant lentement, cela ne prend pas trois heures. Aurais-je dû en prendre encore une, encore deux ? Je vous laisse imaginer dans quel embarras je me trouvais : entre l’invention des actes et les kilos superflus... Vous aurez compris quelle solution j’ai choisie.
Par contre, je vous lance un défi, et j’espère que vous le relèverez. Puisque vous êtes mon voisin d’en face et que vous seul connaissez votre emploi du temps, auriez-vous l’amabilité de compléter ce modeste écrit ?
Je vous remercie de vous être arrêté et de me permettre de compléter mon petit carnet "Progresser à pas de géant"
Bon week-end cher voisin d’en face,
Jeu sordide 24 novembre 2005, Bernard Blazin IP:33f5997137cccc71
Tu devrais faire plus souvent de la prose Moun. Tu excelles parfaitement dans les deux domaines (proses et vers)
Si tu as ton petit carnet ouvert, cependant, je ferais une petite remarque sur cette phrase : "je retrouvais le corps beau et chaud .."
Le beau corps chaud..n’eut il pas été préferable ?...Suis un grand disciple de Patrcik ;o)
Jeu sordide 24 novembre 2005, Moun IP:02c3c1987ada2742
Sieur Patrcik peut être fier de toi
Merci pour la remarque que je note dans mon petit cahier qui ne me quitte jamais... tu penses ! Ce texte ayant été écrit entre deux tartines beurrées ce matin, je crois que l’adjectif "beau" a glissé Mieux encore, à la relecture, je sentais que quelque chose n’allait pas mais je ne trouvais pas... Merci Bernard
Bonne soirée et toutes mes amitiés,