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Capitalisme sauvage
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Capitalisme sauvage 17 décembre 2005, genou IP:662c60c0a049beb0
Bonsoir Claude, j’espère que tu ne m’en voudras pas, mais celui-ci je ne le trouve pas aussi bon que les autres. (Il faut bien avouer qu’après nos lectures, j’ai un peu de mal). Je reviendrai le lire à tête reposée dans la semaine. Amitiés Genou
Capitalisme sauvage 17 décembre 2007, Claude Braize IP:33f17046dc99be73
Tu disais, à l’époque ne pas trop aimer ce texte et je te comprends. Mais aujourd’hui ???
Non ?
Bon, d’accord !!!
Mais j’en sais rien.
J’ai l’air ridicule à répondre à ces vieux commentaires ? Oui ! Tant pis !!!!
Amicalement par delà les siècles des siècles !
Capitalisme sauvage 10 décembre 2005, Delphine Lemaire IP:6feab9d288aee4eb
Cynisme ou réalisme ???
J’avoue que cela correspond assez à l’image que je me fais des entreprises modernes où tous, des agents d’entretien au PDG, font partie de la même famille....jusqu’au jour où on ne correspond plus à l’image de la boîte....
Merci Claude...
Capitalisme sauvage 20 décembre 2005, Claude Braize IP:53db5f2aefb640a0
Merci de ce commentaire. Texte réaliste ou qui pourrait l’être. Je vais prendre ma carte à LO et brûler des chefs de rayons, des entrepreneurs et des grands patrons.
Oh hisse ! Camarades !!!
Tovaritch Klod Brèz
Capitalisme sauvage 7 décembre 2005, Aimelasorc IP:dd8f0a1a039b36e9
Plaisir de te "revoir"cela faisait longtemps que tu avais disparu. Le capitalisme va bon train. Tout s’achète, tout se vend lamentablement. Où sont les sentiments ?
Capitalisme sauvage 8 décembre 2005, Claude Braize IP:53db5f2aefb640a0
Merci d’exprimer ce plaisir de me revoir. Non, je n’avais pas disparu. Pour de très bonnes raisons j’ai beaucoup lu vos textes, beaucoup réfléchi, grâce à cela, sur mon propre travail. Mais j’écris aussi beaucoup et surtout très long, plusieurs dizaines de pages et tu sais combien de temps cela peut prendre...
Où sont les sentiments ? N’importe où, partout, tout le temps, sauf dans l’Entreprise, sauf dans le capitalisme. mais, ce que dit mon personnage, l’entreprise n’est pas là pour avoir des sentiments mais pour produire quelque chose. "Je travaille, le mieux possible, le plus possible, pour l’argent et les sentiments, la vie est ailleurs !". Cette séparation peut paraître choquante ou provoquante mais ...
Malgré tout l’intérêt du travail, malgré les bonnes ambiances qu’il peut y avoir dans les bureaux et toutes les satisfactions que l’on peut y trouver, le travail est pour moi comme pour "mon Claude" une activité essentiellement alimentaire. Disons plus clairement encore que si je n’avais pas à travailler, je m’occuperais, certes, mais pas exactement comme je le fais aujourd’hui.
A bientôt pour des pîtreries plus habituelles
Amicalement - Claude