En réponse à..

Que j’aime ce texte et la colère qui l’inonde.
Cette phrase " un rire d’une longueur bizarre qui faisait froid dans le dos"...
Et ce personnage si énigmatique qui se sacrifie pour que cesse les pantalonnades de circonstance.

bravo, Aimela, c’est très très bon...

Merci viviane pour ton commentaire J’ai rallongé mon texte et j’ai été aidée sur ce coup là. Je ne devrais pas le dire mais, je suis franche et je remercie encore cette aide providentielle

Que voilà mystère à l’image de ce qui se dit en cachette dans bien des hameaux de notre bonne France. Est-ce histoire de fesses (m’excuse), d’une de ces coucheries secrètes qui laisse rancœur ? Ou plutôt accident tu dont Marie aurait été témoin ? Non, je crois plutôt qu’il s’agit d’une vieille histoire de famille, quelques querelles de voisinage dont les héritiers s’évertuent à perpétuer la tradition, un peu à l’image de ces bouderies qui empoisonnent le quotidien et dont on ne sait pas sortir alors qu’il suffirait de tourner la page ou de râfraichir l’écran.

Par ce mystère (de Noël) ce texte apporte séduction et surtout frayeur par ce "Mon cul" d’une telle vulgarité que le lecteur est diablement déstabilisé. Il y a donc de l’audace ici, du courage dans le maniement du verbe et surtout une créativité dont on ne peut que remercier l’auteur car cette prise de risque (de nous interroger ainsi) est authentique défi. Gageons que nous saurons y réfléchir.

Il y a des villages où les secrets sont bien gardés et les colères bien trop profondes que nul n’a cherché à les chasser par peur, fatalisme où lâcheté ... hélas.
Merci Pour tout Patrick

Une bien curieuse histoire que tu nous racontes-là, Aimela... Qui me laisse un goût d’inachevé plus exactement me pousse à me poser tout plein de questions sans que je puisse avoir les réponses...
Sourire

Peut-être esr-ce le but de ce texte, se poser pleins de questions. Il y a quelques fois pleins de non-dit dans lieu qui empoisonnent la vie. Merci Vanina de ton commentaire