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Bonsoir Bernard,

J’aime beaucoup le ryhme donné à votre texte, la puissance de l’hiver, sa redoutable froideur qui oblige choses et gens à se recroqueviller, il accompagne la mort par un effet dramatique. Quant au curé, résigné, il s’en repart courbé offrir l’ultime réconfort.
Très beau texte où l’on sent la vie de nos campagnes dans la première moitié du XX^e siècle.

De plus, j’ai eu le plaisir de lire quelques uns de vos textes (nouvelles) que j’apprécie particulièrement.

Noël

Merci Noël,

L’hiver même si je n’aime pas cette saison est une bonne source d’inspiration...Mais les hivers, les vrais ! Avec de la neige , du vent, etc..

De nos jours ils deviennent de plus en plus rares

Et puis, il y avait cette image que j’avais dans la tête de ce curé si noir comme les corbeaux dans l’ouate blanche..Il me fallait écrire un texte sur nos campagnes d’autrefois avec cette vue là !

Merci encore

Amitiés

mourrir en pleine hiver ou en pleine été est je le pense tout aussi derisoire pourvu que celle ci soit douce.
je trouve ce texte tres beau et prenant.
Amitiés..
LGilles

Merci Gilles et désolé pour mon retard dans mes commentaires...
Oui tu as raison, mourir que ce soit en hiver ou en été est-ce bien important..
A choisir je préfère l’hiver car l’été je penserai qu’il me reste de beaux jours devant moi )
Je ne suis pas pressé de toutes façons ;o)

Amitiés

Quelle histoire glaciale.

Comme la neige qui tombe doucement ton texte se dévoile à l’image d’un hiver bien rude et mortel.

Nous y allons tous à notre rythme. Le froid nous prendra un jour !

Bisous genou

Oui je suis en retard, comme toujours !

Bon et bien tu es rare en ce moment, j’éspere que le froid ne t’a pas refilé un mauvais rhume ?

Bisous ;o)