En réponse à..

L’insuffisance (esquisse) telle que tu nous la présentes ne serait-elle pas la mesure entre l’idéal et le réel ?

L’idéal étant cette valeur (qualité) dont on peut sans cesse se rapprocher sans jamais la réaliser pleinement. Grâce à l’idéal nous nous élevons vers une impossible perfection, qui naît d’une prise de conscience de l’insuffisance du réel. Car l’idéal fait ressortir nos faiblesses (insuffisances), bien qu’il n’existe que pour et par la pensée, à titre d’idée.

Paradoxe de l’idéal qui ne peut être pleinement réalisé, tout en devant l’être...
Perpétuelle oscillation entre le trop (idéal) et le trop peu (réel), existe-t-il un équilibre lors d’une telle tension ?
Quelle dose d’idéal peut-on inclure dans le réel ?

Sourire